J'm'interroge a écrit : 25 déc.25, 10:45
Relativiser « toute » à « quantifiée relativement à une définition » n’affaiblit pas ma prémisse, au contraire : cela clarifie ce que je veux dire et rend mon raisonnement cohérent.
Par le subterfuge de la relativisation... Et voilà, notre 'toute intelligence' amputée de son plein sens… CQFD
Reste maintenant à relativiser votre cadre qui rend certaines intuitions « hors d’atteinte » — non parce qu’elles sont creuses, mais parce que le cadre est trop étroit pour les contenir...
Surtout ne vous appauvrissez pas en renonçant à certaines intuitions séduisantes... C'est peut-être notre rendez-vous pas si lointain...
Il ne s’agit pas d’une amputation : relativiser “toute intelligence” à une définition explicite ne restreint rien d’essentiel, cela précise simplement le concept pour qu’il soit cohérent et analysable.
Ce n’est pas un appauvrissement, mais la condition même pour raisonner sérieusement.
Les intuitions séduisantes que tu veux préserver hors d’atteinte ne valent rien si elles échappent à toute cohérence.
Et surtout, tu n’es ni hors cadre, ni en train de parler depuis un point de vue plus large : tu changes de registre sans l’assumer.
Prétendre dépasser le cadre logique tout en continuant à employer ses concepts (cohérence, totalité, connaissance, intelligence) n’est pas un élargissement, c’est une équivocation.
Un point de vue réellement plus large devrait encore rendre compte de la cohérence — pas s’en exonérer.
Une équivocation est une erreur de raisonnement qui consiste à utiliser un même mot avec des sens différents au cours d’un argument, sans le signaler, afin de donner l’illusion d’une continuité logique.
Ici, par exemple, on parle de : « toute » tantôt comme quantificateur précis (toute intelligence définie selon des critères), tantôt comme totalité absolue métaphysique indéfinie.
Le mot reste le même, mais son sens change en cours de route.
L’argument semble alors cohérent en surface, alors qu’il repose en réalité sur un glissement de sens.
Ce n’est pas sortir du cadre : c’est changer silencieusement parler d'autre chose. Une manière d'éluder la critique. .
- La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
- Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
- Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit son lot d'expériences vécues.
Sagesse !
J'm'interroge a écrit : 25 déc.25, 12:34
Ici, par exemple, on parle de : « toute » tantôt comme quantificateur précis (toute intelligence définie selon des critères), tantôt comme totalité absolue métaphysique indéfinie.
Le mot reste le même, mais son sens change en cours de route.
C’est votre « toute » qui a changé de registre en cours de route, pour éviter la contradiction que j’ai soulignée dès le départ. C'est donc vous qui avez opéré le glissement...
Non. Mon « toute » n’a jamais changé de registre.
Il a toujours été un quantificateur relatif à une définition explicite — comme tout concept opérant.
Le seul glissement est le tien : tu imposes après coup à « toute » un sens métaphysique absolu pour fabriquer une contradiction, puis tu fais comme si ce sens avait été le mien dès le départ.
Ce n’est pas une réfutation, c’est une réécriture rétroactive du propos.
Et tu délires quant tu dis que tu aurais vu et souligné une contradiction dans mes propos.
Tu le déclares, mais on a vu aucun argument critique valide.
Je suis responsable en rien du fait que tu comprends de travers et déformes mes propos.
Encore une fois, bosse la logique ronron. Cela t'évitera de dire des âneries. .
- La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
- Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
- Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit son lot d'expériences vécues.
Sagesse !
- La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
- Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
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Sagesse !
Vous l'avouez vous-même... ''Le mot reste le même, mais son sens change en cours de route.''
- ''La Source est en la Vie, il n'y a pas d'intelligence hors d'Elle, donc pas d'intelligence à son origine. Elle porte en Elle toute intelligence.''
- ''Relativisé en «Toute intelligence est une totalité quantifiée relativement à une définition... comme tout concept opérant''...
Heureusement que j'ai tant insisté...
En plus, le même problème se répète dans la formulation 'tout concept' qui ne peut s'inclure lui-même... Et nous voici à tourner en rond et en double dans l'aporie...
Ainsi, je comble les manques béants de votre cadre en l'ouvrant...
Vous l'avouez vous-même... ''Le mot reste le même, mais son sens change en cours de route.''
- ''La Source est en la Vie, il n'y a pas d'intelligence hors d'Elle, donc pas d'intelligence à son origine. Elle porte en Elle toute intelligence.''
- ''Relativisé en «Toute intelligence est une totalité quantifiée relativement à une définition... comme tout concept opérant''...
Heureusement que j'ai tant insisté...
En plus, le même problème se répète dans la formulation 'tout concept' qui ne peut s'inclure lui-même... Et nous voici à tourner en rond et en double dans l'aporie...
Ainsi, je comble les manques béants de votre cadre en l'ouvrant...
Soyez beau joueur...
Lol.
N'importe quoi.
Ce que tu appelles « changement de sens » n’est qu’une interprétation erronée de ta part.
Quand j’écris « toute intelligence est une totalité quantifiée relativement à une définition », je clarifie ce que j’entends par “toute”, je ne lui donne pas un autre sens.
Mon « toute » a toujours été un quantificateur relatif à une définition explicite — comme tout concept opérant. Il n’a jamais été métaphysique ou absolu.
La phrase « La Source porte en Elle toute intelligence » est une illustration du concept, pas une prétendue définition absolue. Et elle ne revendique en rien une omniscience absolue : elle indique seulement que la Source contient ou fonde des intelligences, sans prétendre se totaliser elle-même.
Tu ne combles rien : tu projettes ton interprétation métaphysique sur mon texte, puis tu prétends qu’il y a contradiction.
Il n’y en a pas. Ton « ouverture » n’est qu’une extrapolation hors de ce que j’ai défini, rien de plus.
Le problème n’est pas mon cadre, c’est ton interprétation qui fabrique artificiellement une aporie et prétend ensuite que je tourne en rond. .
- La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
- Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
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Sagesse !
J'm'interroge a écrit : 26 déc.25, 07:10
La phrase « La Source porte en Elle toute intelligence » est une illustration du concept, pas une prétendue définition absolue. Et elle ne revendique en rien une omniscience absolue : elle indique seulement que la Source contient ou fonde des intelligences, sans prétendre se totaliser elle-même.
Votre formulation vous donne tort... Vous versez dans le rétropédalage...
En passant, vérifiez votre penchant dogmatique dans le topic sur Pyrrhon...
Une clé : Le mot ''Toute''.. À relativiser une fois de plus avant que je m'en mêle...
Votre formulation vous donne tort... Vous versez dans le rétropédalage...
En passant, vérifiez votre penchant dogmatique dans le topic sur Pyrrhon...
Une clé : Le mot ''Toute''.. À relativiser une fois de plus avant que je m'en mêle...
Tu délires.
Je ne rétropédale pas : je clarifie. « Toute » n’a jamais été métaphysique, il s'agit du quantificateur logique et j'avais précisément et explicitement défini ce que j'entends par "intelligence". C'est toi qui en comprends et conclus n'importe quoi.
Ton obsession pour un glissement imaginaire est des plus ridicule.
Tes clins d’œil et tes ricanements ne remplacent pas une démonstration. Le problème n’est pas dans mes propos ici ou ailleurs, c’est ton refus de raisonner dans un cadre logique cohérent et ta tendance à affirmer et à conclure beaucoup trop rapidement sur la base de tes croyances.
Protéger un fantasme d’omniscience absolue par un discours complétement incohérent, décalé et flou, n'a que pour effet d'entretenir ta confusion et ton erreur. .
- La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
- Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
- Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit son lot d'expériences vécues.
Sagesse !
De toutes façons vous ne démontrez rien. L'omniscience est hors de portée de la compréhension humaine et vous, vous voudriez nous faire croire que vous avez réussi à atteindre un niveau tellement supérieur de compréhension que même ce qui nous échappe, vous, vous le comprenez. Dans l'univers humain, l'omniscience n'existe pas, ouais, bravo quelle découverte ! quelle porte ouverte ! Mais pour tout ce qui touche l'extérieur de l'univers humain, vous devriez être plus humble, moins catégorique.
Vous ne savez rien de ce qu'il y a là, dehors.
Je ne développerais pas. Votre suffisance m'insupporte tellement que je préfère me cantonner à des messages en mode tireur isolé.
La première chose que fera un esclave après avoir quitté son maître, c'est s'en trouver un autre encore pire que le précédent. Et il n'y a pas pire maître que soi-même. - "Principe d’élévation - Réalité ou Illusionnisme pervers ?" G. C. Endrifel
Gérard C. Endrifel a écrit : 26 déc.25, 08:42
De toutes façons vous ne démontrez rien. L'omniscience est hors de portée de la compréhension humaine et vous, vous voudriez nous faire croire que vous avez réussi à atteindre un niveau tellement supérieur de compréhension que même ce qui nous échappe, vous, vous le comprenez. Dans l'univers humain, l'omniscience n'existe pas, ouais, bravo quelle découverte ! quelle porte ouverte ! Mais pour tout ce qui touche l'extérieur de l'univers humain, vous devriez être plus humble, moins catégorique.
Vous ne savez rien de ce qu'il y a là, dehors.
Je ne développerais pas. Votre suffisance m'insupporte tellement que je préfère me cantonner à des messages en mode tireur isolé.
Gérard,
Tu passes complètement à côté de mon propos. Je ne prétends à aucun moment comprendre ce qui nous échappe ni accéder à un point de vue « supérieur » ou extra-humain. Je ne parle pas du contenu d’une connaissance hors de portée, vue comme une omniscience, mais de la cohérence du concept même d’omniscience.
Dire qu’un concept est logiquement incohérent n’implique aucune prétention à savoir ce qu’il y aurait « dehors ». C’est précisément l’inverse : je montre qu’on ne peut même pas le penser sans contradiction, quel que soit le point de vue adopté, humain ou non. Ce n’est pas une thèse ontologique, encore moins théologique, mais une analyse conceptuelle.
L’argument « c’est hors de portée de la compréhension humaine » n’est pas une réfutation : c’est une immunisation contre toute critique. Si un concept est déclaré par principe intouchable, alors on ne raisonne plus, on croit. C’est respectable, mais ce n’est plus une discussion philosophique.
Quant à la « suffisance », elle n’est pas dans l’analyse logique ; elle est dans l’idée qu’un mot devient vrai dès qu’on le place hors débat. Là, effectivement, on ferme la porte — mais ce n’est pas moi qui l’ai claquée. .
- La réalité est toujours beaucoup plus riche et complexe que ce que l'on peut percevoir, se représenter, concevoir, croire ou comprendre.
- Nous ne savons pas ce que nous ne savons pas.
Humilité !
- Toute expérience vécue résulte de choix. Et tout choix produit son lot d'expériences vécues.
Sagesse !