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http://www.dreuz.info/2013/12/selon-une ... ent-297312

Jusqu'où iront il dans le mépris de la femme. On se le demande en lisant cette fatwa des frères musulmans.

La nouvelle fatwa, qui dit que les femmes qui se baignent dans la mer commettent l’adultère, ne doit pas être prise à la légère : elle a été formulée par les Frères musulmans.

Quand une femme va se baigner, et étant donné qu’en arabe le mot mer est masculin, quand « l’eau touche les parties intimes de la femme, elle devient adultère et doit être punie », dit en résumé un rapport intitulé « les erreurs de jugement des fatwas des Frères musulmans et des salafistes » publié par le quotidien égyptien Al Masry Al Youm.

On voit parfaitement ici que l'islam considère la femme comme une sous espèce de l'humanité tout juste bonne à faire la popotte et à satisfaire les appétits sexuels de son conjoint.

Continuons à dénoncer cette secte barbare qui fait reculer l'humanité de 1000 ans

Ce n'est pas possible on veut interdire à nos femmes, nos soeurs, nos mères, les plaisirs de la mer, on veut les voiler,
on veut les cloîtrer, on veut leur couper le clitoris et tout ça au nom d'Allah qui est Puissant et Sage.

Phoenixpb a écrit : Quand une femme va se baigner, et étant donné qu’en arabe le mot mer est masculin, quand « l’eau touche les parties intimes de la femme, elle devient adultère et doit être punie »,.....

Oui, c'est vrai. D'ailleurs quand un homme y va, c'est un homo qui veut se faire besogner par l'océan.
Au lieu d'atteler ces crétins à une charrette après les avoir ferrés pour leur faire faire des tours de la ville sous la cravache et la huée des femmes, elles sont nombreuses à les écouter béatement en caressant amoureusement leurs barbes teinte au henné.
Alors tant pis pour elles !

yacoub a écrit :
Ce n'est pas possible on veut interdire à nos femmes, nos soeurs, nos mères, les plaisirs de la mer, on veut les voiler,
on veut les cloîtrer, on veut leur couper le clitoris et tout ça au nom d'Allah qui est Puissant et Sage.

On dirait des otaries .
Se déguiser en otarie voilà la solution pour qu'elles ne se fassent pas repérer .

un peu de respect st p.

De un cette fatwa est caduque et non avenue car basé sur aucun texte.
De deux ça ne veut strictement rien dire : fatwa des frères musulmans. Quel frère musulman ? Qui parmi les frère musulman a énoncé la fatwa ? Sur quoi ce base t'il ? Ou a t'il étudié pour faire des fatwas ? Est-ce un savant, un simple étudiant ou une personne lambda parmi les frères musulmans ?

Le site dreuz est un site ouvertement islamophobe qui crache sa haine à longueur de journée, vérifiez vos infos avant de vous esclaffer comme des bourricots.

medico a écrit :un peu de respect st p.

Médico salut, l'islam ne respecte pas les femmes, les humilient, les méprisent.

L'infâme Al Ghazali, mort en 1111, a dit : la religion de la femme c'est son vagin.

Et ce vagin est décrit dans la littérature islamique est décrit comme l'antre de Satan, le lapidé.

Les femmes sont surnommées les éperviers d'Ibliss.

Comment toi, Médico qui n'est pas Ren', toi un humaniste, peux tu demander du respect envers
une secte qui est proche du nazisme.

L'infâme Al Ghazali, mort en 1111, a dit : la religion de la femme c'est son vagin.

Bien sur qu'elle est caduque cette fatwa, une chance mais on voit bien là jusqu'où peut aller l'islamisme dans la répression des femmes

Et heu reste poli

J'ai été impoli où ? Mythomane est la définition qui colle le plus à Yacoub.
Etre impoli aurait été de le traiter de sale gros con d'[ATTENTION Censuré dsl] de merde. Chose que je ne fais pas car j'essaie de respecter un maximum mes interlocuteurs, même s'ils ne le méritent pas toujours.

Al-Gazali a une opinion des femmes tout à fait traditionnelle, il met les hommes en garde contre leur ruse, qui est immense, et affirme que "c'est un fait avéré que toutes les épreuves, les malchances et les malheurs qui frappent les hommes viennent des femmes".
C'est pourquoi l'Islam est très "attentif" à leur propos.

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Elle doit rester au foyer et filer la laine. Elle ne doit pas sortir trop souvent. Elle doit être ignorante, ne doit pas être sociable avec ses voisins et ne doit leur rendre visite que si c'est absolument nécessaire.
Elle doit prendre soin de son mari et doit lui témoigner du respect, en sa présence comme en son absence. Elle doit essayer de le satisfaire en toutes choses. Elle ne doit pas essayer de le tromper, ni de lui extorquer de l'argent. Elle ne doit pas quitter sa maison sans la permission de son mari et s'il lui accorde, elle doit le faire subrepticement.
Elle devra revêtir de vieux vêtements et emprunter des rues désertes. Elle devra éviter les marchés publics et s'assurer que nul ne puisse identifier sa voix et la reconnaître. Elle ne doit pas adresser la parole à un ami de son mari, même si elle a besoin de son assistance.
Sa seule préoccupation sera de préserver sa vertu, son domicile, tout autant que ses prières et le jeûne. Si un ami de son mari lui rend visite pendant qu'il est absent, elle ne doit ouvrir la porte ni lui répondre afin de sauvegarder son honneur et celui de son mari.
En toute occasion, elle se contentera de la satisfaction sexuelle que lui procure son mari. Elle aura toujours souci de pouvoir satisfaire à tout moment les besoins sexuels de son époux.
Revivification des sciences de la religion, cité par Ghassan Ascha, Du statut inférieur de la femme en Islam, l'Harmattan, Paris 1987, p. 41.