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Auteur : algol-x
Date : 31 mars18, 22:29
Message : Témoignage d’une ancienne interprète officielle de Daisaku Ikeda
Je suis née dans une famille de membres de la Sôka Gakkai. Mes parents faisaient les activités avec enthousiasme et offraient leur maison comme lieu d’activités. Pour Kôsen Rufu, ils ont déménagé afin de disposer d’un lieu de réunion plus vaste. Ils ont également fait construire une nouvelle maison ou encore, ils ont fourni un kaikan doté d’une salle de pratique de 160m².
A l’époque où je fréquentais encore le lycée de Shizuoka, ma mère était très amie avec une femme. C’est ainsi que j’ai appris que cette dernière était la maitresse d’Ikeda Sensei.
Elle était mariée et avait des enfants. Son mari était au courant de la nature de la relation entre sa femme et le président Ikeda. A titre de récompense pour son silence, il fut nommé grand dirigeant.
A cet âge où l’on est très sensible, tout en ressentant de la répulsion vis-à-vis de cette chose, je faisais des efforts dans mes études, afin de réaliser le rêve qui me tenait depuis le collège, de devenir interprète et je rentrais à l’université Sôka.
Pendant mes études à l’université, je pris conscience que « devenir interprète ne devait pas être uniquement pour mon autosatisfaction, mais parce que dans le monde il y a des gens qui recherchent l’enseignement de Nichiren Daishônin et qu’il faut le leur transmettre correctement ». A partir de ce moment, je me consacrai entièrement à l’étude de l’anglais et aux activités de la pratique.
Choquée
A cette époque, la traductrice en anglais de Daisaku Ikeda était Ryôko Yagura. Alors que je poursuivais mes études à l’université, elle annonça son mariage. Dès lors, la sélection pour « remplacer Ryôko Yagura » commença. Bien qu’encore étudiante, je fus choisie comme membre du groupe de traduction appelé « brigade Ryôko ».
Le but de ce groupe était de « former des interprètes pouvant aider Ikeda Sensei afin de prendre la relève de Ryôko Yagura ». Hormis l’anglais, il était composé d’interprètes en d’autres langues, en tout 7 ou 8 personnes.
C’est à l’occasion de la création de la brigade Ryôko que pour la première fois, j’ai rencontré de près le président Ikeda qui, pour moi, était jusqu’alors une existence relativement lointaine. J’avais bien sûr été présente pour les photos commémoratives lorsqu’il venait à l’université Sôka, où lorsqu’il y donnait des discours ou des déjeuners, mais je n’étais qu’une personne parmi de nombreuses autres. C’est alors que j’ai vu Sensei juste devant moi.
Quand je l’ai vu de près il me donna l’impression d’être « un homme à l’attitude présomptueuse et irrévérencieuse ». Toutefois, dans la mesure où à l’époque je croyais qu’« Ikeda Sensei est le guide absolu dans la foi » j’ai tout de suite pensé « comment puis-je manquer autant de foi ? Si je pense de la sorte, c’est parce que c’est moi qui suis sale ». C’est ainsi que j’ai enterré mes intuitions.
Lors de cette première rencontre, une autre chose m’a laissée perplexe.
Une des membres de la brigade Ryôko demanda à Sensei : « la santé de ma grand-mère qui a dépassé les quatre vingt ans s’affaiblit. Que dois-je faire » ? La réponse fut : « elle a vécu jusqu’à cet âge-là, ça va comme ça ».
Cette réponse ne me satisfaisait pas du tout. Je pris néanmoins la décision de ne pas trop réfléchir et de tout garder enfoui en moi.
Quand j’y repense à présent, je me dis qu’aucun être humain n’a le droit de juger qu’une personne a suffisamment vécu ou non. A mon sens, les paroles d’un véritable pratiquant du bouddhisme devraient être « soutenez-la bien en famille afin de lui faire accumuler de la bonne fortune jusqu’au bout ».
En tout cas, telle fut ma première rencontre avec Ikeda Sensei en personne.
interdiction d’aventures amoureuses
Par la suite, à la fin de mes études à l’université, j’ai été nommée la plus jeune « traductrice officielle » d’Ikeda Sensei et ait subi un entrainement en ce sens au centre de la Sôka Gakkai. Encouragée par le directeur du département international, par la responsable des jeunes filles, j’ai été progressivement amenée auprès d’Ikeda Sensei.
Pendant ce temps, la traductrice en Portugais qui suivait le même entrainement que moi, s’était trouvé un petit copain, s’attirant ainsi la colère d’Ikeda Sensei qui l’engueula, criant « C’est pas ça le but ». Il était donc interdit aux interprètes du président d’avoir un copain.
On m’a moi-même sévèrement mise en garde. La raison était : « si on fréquente, on pense à son copain et on ne peut plus se concentrer sur le travail d’interprète de Sensei ». Voilà encore une chose avec laquelle je ne pouvais pas être d’accord. Je me disais en moi-même « la foi véritable, n’est-ce pas se construire une personnalité forte, sur laquelle les tentations et les démons qui nous entourent n’ont aucune influence ? Si ce n’est pas le cas, alors être l’interprète d’Ikeda Sensei implique de rester vieille fille toute sa vie».
C’est lors d’un long voyage aux Etats-Unis en tant que traductrice, que j’ai fortement réalisé que cette « interdiction de relations amoureuses » émanait de la propre volonté d’Ikeda Sensei. Lui-même était venu en Amérique et c’est avec plusieurs autres interprètes que je l’ai rencontré de nouveau. Dès qu’il ma vue, il s’est écrié me montrant du doigt : « Hé ? C’est quoi ça déjà » ? J’avais l’impression d’être un objet.
Quelque peu choquée, je suis restée bouche bée, incapable de répondre. Quelqu’un lui a alors présenté ma situation. Soudain, sans cohérence logique, il me demanda « t’as un copain » ? Il me bombarda deux ou trois fois de la même question. Je ne pus répondre que « non ». Il rétorqua : « non ! J’y crois pas, ça m’inquiète ». Il se tourna alors vers une femme du 1er bureau des affaires générales et lui donna des instructions.
J’ai compris pas la suite qu’il avait demandé à cette femme de prendre contact régulièrement avec moi pendant mon séjour aux États-Unis avec pour mission de surveiller que je ne me trouve pas un boy-friend.
le Gongyô par procuration
A peu près deux ans avant mon départ pour les Etats Unis, j’ai eu l’occasion de participer à un déjeuner avec Sensei au centre de la Sôka Gakkai. Nous étions six, y compris une femme venue de l’étranger.
Voyant l’attitude du président Ikeda se laissant servir par une jeune et jolie membre du 1er bureau des affaires générale l’entourant de prévenance, je me demandais avec naïveté « pourquoi ne peut-il pas au moins manger tout seul » ?
De plus, en mangeant près de lui, je me suis rendu compte à quel point il était vulgaire. Il rote la bouche grande ouverte, fait du bruit en mangeant…
Et puis, il s’avère que Sensei ne faisait pas sérieusement Gongyô. J’ai entendu de la bouche de Ryôko Yagura la chose suivante :
« Lorsque Sensei part pour l’Union Soviétique, il ne peut pas faire Gongyô dans ces pays communistes, aussi je fais deux Gongyô le matin et le soir, un pour lui et un pour moi ».
Même dans les pays communistes, on peut toujours faire Gongyô dans sa chambre d’hôtel. Le fait que Sensei ne faisait pas Gongyô fut un tel choc pour moi que j’ai eu de la peine à le croire. J’ai cependant entendu deux fois Ryôko Yagura raconter la même chose.
Ryôko Yagura qui, jusqu’à ces dernières années a servi Daisaku Ikeda avec une confiance absolue au point de faire Gongyô à se place, a été arrêtée il y a deux ans pour possession de cannabis. Cette affaire raconte bien l’état actuel de l'Ikeda-Sôka Gakkai.
Des propos injurieux
La première fois que j’ai entendu Sensei prononcer des paroles agressive vis-à-vis de la Nichiren Shôshû, fut au mois d’août 1990. Alors que des membres d’outremer étaient présents, il commença subitement à critiquer les moines.
En outre, c’était sans suite logique. Il lança brusquement une sorte de manifeste qu’il répéta plusieurs fois « Ne vous laissez pas avoir » !
Il y eut une fois l’épisode suivant :
Juste avant son discours, Sensei fit parvenir son texte au bureau des traductrices. Ryôko Yagura ne pouvant pas tout lire et traduire à elle seule, nous nous sommes réparti la tâche et nous avons commencé à traduire en écrivant à la main.
Ryôko Yagura tenta de faire correspondre les feuillets avec le discours de Sensei. La tâche n’était pas aisée, d’autant plus qu’il s’agissait d’écritures manuelles faites dans la hâte. De plus, sans aucun lien avec ce qu’il était en train de dire, il se mit à improviser des critiques de la Nichiren Shôshû. Elle a eu beaucoup de difficultés pour traduire et m’a confié après « j’avais envie de pleurer ».
Entendant Sensei multiplier des critiques haineuses à l’encontre de la Nichiren Shôshû et finalement dire « il n’est pas nécessaire de faire le Gongyô en cinq assises », j’ai compris que la Sôka Gakkai était parfaitement anormale et quitté cette organisation en mars 1991.
https://ecolefuji.jimdo.com/2015/06/08/ ... e-de-blog/ Auteur : Yvon
Date : 31 mars18, 23:01
Message : Source de la Nichiren Shoshue , ca ne peut pas être objectif .
Auteur : algol-x
Date : 31 mars18, 23:08
Message : Yvon a écrit :Source de la Nichiren Shoshue , ca ne peut pas être objectif .
Ce sont des informations alternatives à la propagande de la Soka Gakkai, votre déni d'adepte n'y change rien !

Auteur : Yvon
Date : 31 mars18, 23:25
Message : La soka Gakkai ça vous travaille bien plus que moi

Auteur : Ichinen29
Date : 31 mars18, 23:33
Message : "Fake news!!"...Si ça émane de la nichiren shoshue on connait bien leur" sérieux"...sans intérêt et pure invention!
Auteur : algol-x
Date : 01 avr.18, 00:43
Message : Yvon a écrit :La soka Gakkai ça vous travaille bien plus que moi
Ichinen29 a écrit :"Fake news!!"...Si ça émane de la nichiren shoshue on connait bien leur" sérieux"...sans intérêt et pure invention!
Le cœur antique

Auteur : Ichinen29
Date : 01 avr.18, 01:32
Message : en l'occurence!
Auteur : algol-x
Date : 01 avr.18, 07:42
Message : Erreur monumentale? Comment une statue honorant un chef religieux controversé japonais a été installée dans un parc de Chicago
Par John Greenfield
Le Peace Garden de Chicago n'est pas un endroit particulièrement paisible. Situé à Uptown à côté de Lake Shore Drive, juste à l'est du passage inférieur de Buena Avenue, sa tranquillité est minée par le bruit constant de la circulation. Le parc dispose d'une fontaine en pierre rustique, actuellement fermée pour réparations, et d'un poteau blanc avec des inscriptions sur chacun de ses quatre côtés: "Que la paix soit à Chicago; Que la paix soit en Illinois; Que la paix soit aux États-Unis; Puisse la paix régner sur la terre."
Au centre du jardin, presque directement sous l'autoroute, se trouve la sculpture en bronze "Peace and Justice" de l'artiste locale Margot McMahon, montrant deux jeunes garçons, un afro-américain et un caucasien, tenant une balle en l'air. Sur le devant de la base de granite trapézoïdale une plaque se lit comme suit:
Érigé en commémoration du 50e anniversaire de la lutte de Daisaku Ikeda pour la paix, la justice et les droits de la personne. En traversant Lincoln Park le 9 octobre 1960, le jeune président de la Soka Gakkai, Daisaku Ikeda, a été témoin d'un douloureux acte de discrimination raciale envers un jeune enfant, cristallisant son engagement durable à débarrasser le monde des souffrances inutiles et à permettre la dignité humaine de tous. briller.
Les trois autres côtés de la base présentent des citations d'Ikeda sur les vertus du titre.
Quand j'ai lu pour la première fois la dédicace, en m'arrêtant sur mon vélo en route du bord du lac à un café voisin, j'étais stupéfait. Après tout, Soka Gakkai International (SGI), un mouvement bouddhiste laïc fondé au Japon avec des millions de membres dans le monde, a souvent été décrit comme un culte. Qu'est-ce qu'un monument à Ikeda, le «mentor spirituel» énigmatique de l'organisation, faisant dans un parc public?
J'ai entendu parler de Soka à la fin des années 90, après qu'un copain ait fait l'erreur d'assister à une séance de mantra du matin au siège du groupe à Chicago dans le South Loop avec une gueule de bois. L'intonation sonore du mantra, «Nam Myoho Renge Kyo», a amplifié son mal de tête. Cette phrase japonaise se traduit par «Je me consacre aux merveilleux enseignements du Sūtra du Lotus», le texte central de l'école du bouddhisme Nichiren . Avec un mal au crâne lancinant, mon ami est parti avec des impressions mitigées. «au positif, ils étaient tous très amicaux et accueillants et très intégrés sur le plan racial», se souvient-il. "Mais je les caractériserais comme un "culte".
Si vous lancez une recherche Google sur Soka Gakkai, la cinquième entrée qui apparaît est la page de l'organisation sur le site Web de l'Institut Rick A. Ross, un organisme de sensibilisation à but non lucratif. J'ai rejoint Ross à son bureau de Trenton, dans le New Jersey, alors qu'il enquêtait sur les dégâts causés par l'ouragan Sandy. "A mon avis, Soka Gakkai est un culte destructeur", dit-il. "J'ai reçu des plaintes sérieuses d'anciens membres et de membres de la famille. Ikeda règne essentiellement comme un dictateur totalitaire. "
Alors, qu'est-ce qu'un culte destructeur? Merriam-Webster définit le «culte» comme «une religion considérée comme peu orthodoxe ou fausse». Le psychiatre Robert Jay Lifton, cité sur le site de Ross, écrit que les cultes destructeurs ont les caractéristiques suivantes: 1) un leader charismatique 2) l'utilisation de la coercition ou du lavage de cerveau; 3) l'exploitation économique, sexuelle et autre des membres par le leader et la coterie au pouvoir.
À la recherche d'informations sur la sculpture, j'ai consulté le site Web de Margot McMahon. Selon la déclaration de l'artiste, la statue symbolise "l'effort passionné de 50 ans pour la paix et la justice qui a caractérisé la Soka Gakkai International dans la promotion de l'égalité raciale." SGI a fait don de la statue au Chicago Park District le 8 octobre 2010.
Comme il est dit dans le premier livre de "The New Human Revolution", une histoire romancée du leadership d'Ikeda avec des dizaines de volumes, l'un des plus de 100 livres qu'il a écrit, en 1960, peu après être devenu président, il a été à Chicago . Un dimanche matin, il s'est promené à Lincoln Park avec des collègues japonais. Dans un espace ouvert, ils ont vu un groupe de garçons blancs, âgés de sept ou huit ans, jouer au ballon entre eux alors qu'un vieil homme blanc était assis sur un banc en riant et en appelant à l'encouragement lorsqu'un garçon manquait une passe. Un garçon afro-américain a également regardé le match avec intérêt mais, contrairement aux enfants blancs qui passaient, il n'était pas invité à jouer.
Quand un des enfants a raté la balle et est tombé, le garçon noir a ri et a applaudi. Furieux, le vieil homme se lève et lui crie dessus. L'enfant a tremblé d'humiliation, a répliqué en colère, puis a sprinté hors de la vue. Ikeda était submergé d'indignation. "Ses mains, inconsciemment serrées dans les poings, ont tremblé", raconte l'auteur, écrivant sur lui-même à la troisième personne. "Il ressentait un sentiment de colère impuissant envers une société où un tel traitement injuste d'un jeune garçon est passé inaperçu . Cet incident s'est produit alors que le centenaire de la Proclamation d'abolition d'Abraham Lincoln sur l'esclavage en Amérique et dans un parc portant le nom de ce président américain.
J'ai appelé McMahon, dont les œuvres incluent une statue de neuf pieds et demi de haut du prêtre activiste Monsignor John Egan devant le centre des étudiants de l'Université DePaul, pour plus d'informations sur "Paix et Justice". Elle dit que SGI l'a approchée pour créer la sculpture parce que «Ils aimaient les œuvres que j'avais faites auparavant, des pièces qui captaient un esprit vif et qui avaient pourtant un ton réfléchi et philosophique.» En tant que catholique pratiquante, elle était ravie de cette demande. "Je suis d'accord avec beaucoup de philosophies du bouddhisme", dit-elle. "Il ne semble pas qu'il y ait beaucoup de différence sur le chemin spirituel que vous suivez si vous vous dirigez vers un but commun."
Les seules informations reçues par l'artiste sur les aspects controversés de Soka proviennent d'une connaissance américaine qui avait travaillé au Japon. "Il a dit que la façon dont les gens suivent Ikeda est inhabituelle, avec beaucoup de dévouement", se souvient-elle. "Il a mentionné que c'était un culte."
McMahon a créé un moulage en résine de la statue pour installation temporaire dans le jardin de la paix à temps pour la cérémonie de dédicace, lorsque les délégations Soka Gakkai du Japon et d'autres villes américaines ont visité Chicago pour marquer l'occasion. Bien que l'homme d'honneur n'y ait pas participé, elle a envoyé à Ikeda une réplique du monument. Les membres locaux ont installé la version en bronze un an plus tard, le 29 septembre 2011, et la copie en résine se trouve maintenant dans le centre South Loop du groupe.
L'artiste estime que le placement de la statue dans le jardin de la paix est approprié. "Je pense que c'est une sculpture qui représente un acte pour la justice", dit-elle. "Cela vient d'une organisation religieuse, mais beaucoup d'organisations religieuses ont pour philosophie d'encourager les gens à vivre ensemble."
Mais quand j'ai parlé à Rick Ross de la sculpture, il a été incrédule que SGI ait pu installer un monument commémorant la «lutte pour la paix, la justice et les droits de l'homme» dans un parc public. «Comment diable ont-ils réussi à faire ça?» Demande-t-il. "Ils vont utiliser cette statue comme un outil de recrutement et comme preuve de la respectabilité d'Ikeda."
La page Web Soka Gakkai de l'Institut Ross contient des liens vers plus de cinquante articles, provenant principalement des principales sources d'information, sur des allégations d'actes répréhensibles commis par l'organisation, ses membres et Ikeda lui-même. En fait, Soka a été impliqué dans tant de conflits, de scandales et de procès que son aile des relations publiques a créé un site web pour les aborder, Soka Gakkai Controversies a exploré.
Selon un article paru en 1999 dans le New York Times, des membres ont été reconnus coupables d'avoir utilisé des écoutes téléphoniques, des incendies criminels et des attentats à la bombe contre des rivaux religieux et politiques au Japon. Dans son livre de 2011 "La dernière Yakuza: une vie dans les enfers japonais", le journaliste d'investigation Jake Adelstein écrit que Soka a embauché des gangsters pour intimider ses ennemis. Le site de Soka's Controversies détaille les cas où des critiques ont blâmé l'organisation pour les meurtres présumés d'une femme politique et d'un prêtre d'une faction bouddhiste rivale. Selon l'article du Times, le président Ikeda a été accusé de nombreux crimes allant des méfaits financiers au viol, mais il n'a été formellement accusé une seule fois, en 1957, d'avoir violé les lois électorales, et il a été acquitté
Les autorités de Soka Gakkai ont nié avec véhémence ces allégations, les accusant souvent de groupes religieux et politiques rivaux, ou ont attribué les crimes à des membres mentalement instables agissant de leur propre chef. "Les médias tabloïd ont tendance à saisir et à faire connaître de tels actes répréhensibles à toute personne qui a déjà été membre de l'organisation", a déclaré la porte-parole de Tokyo, Joan Anderson. Les tribunaux japonais ont jugé que les allégations de meurtre et de viol étaient sans fondement et Soka a intenté de nombreuses poursuites en diffamation contre ses accusateurs, y compris de nombreux journalistes.
Le mouvement a été moins controversé aux États-Unis, mais Soka University of America, une somptueuse installation de 300 millions de dollars que SGI bankrolls dans le comté d'Orange, en Californie, a été critiqué. Bien que l'école soit officiellement non-sectaire, au moins huit anciens membres du corps professoral l'ont accusée de discrimination religieuse, selon un article publié en 2011 dans OC Weekly. En 2002, Linda Southwell, professeur de beaux-arts, a intenté une action en justice contre l'établissement pour 25 millions de dollars, affirmant qu'elle avait été privée de son mandat parce qu'elle n'était pas membre de la Soka. "Le programme d'études vise à refléter les croyances et les points de vue de la secte", a déclaré sa plainte déposée. Tandis que l'université a nié les allégations, elle s'est arrangée avec Southwell pour une figure non divulguée.
Récemment, deux autres ex-professeurs ont intenté des poursuites infructueuses. «La religion n'est pas prise en compte lors du processus d'embauche et d'admission au SUA ou dans le processus de titularisation», soutient la porte-parole de l'université, Wendy Harder.
Bill Aiken, Washington, porte-parole de SGI-USA, la division américaine du groupe, était familier avec le site Web de Ross et n'était pas surpris que Ross ait condamné le mouvement comme une secte destructrice. "Culte est un mot très chargé", dit Aiken. "Nous ne séparons pas les gens de leurs familles. Nous ne faisons pas que les gens envoient leur argent. Nous ne faisons pas que les gens suivent servilement un leader central. Les membres avaient l'habitude de faire du prosélytisme agressif mais nous n'avons pas distribué de tracts dans la rue depuis 1989. "
Alors, pourquoi Soka Gakkai est-ce un tel paratonnerre pour la controverse? "Certains groupes bouddhistes sont jaloux de notre succès parce que nous sommes devenus si grands", explique Aiken. Aujourd'hui, il y a environ dix millions de membres au Japon, soit environ un citoyen sur douze. Il y a près de deux millions de praticiens ailleurs, y compris 192 pays et territoires, avec 104 centres SGI-USA à travers les États-Unis. Soka publie le Seikyo Shimbun, le troisième plus grand quotidien du Japon, avec une circulation de six millions de photos et des articles sur le leader apparaissent sur chaque page d'accueil. La valeur de SGI a été largement rapportée dans les dizaines de milliards, et Ikeda, également un magnat des affaires, serait lui-même milliardaire.
L'éducateur japonais Tsunesaburo Makiguchi fonda Soka Gakkai, signifiant «Société pour la création de valeur» en 1930, fondant sa philosophie sur les principes du bouddhisme de Nichiren, une branche de la foi basée sur les enseignements d'un moine japonais du XIIIe siècle. Nichiren dogma enseigne que tous les êtres humains ont le potentiel pour devenir éclairés dans cette vie, indépendamment de leurs circonstances actuelles. La doctrine de Soka est centrée sur le concept de «révolution humaine», une méthode de transformation intérieure à travers la pratique du bouddhisme.
Makiguchi mourut en prison pendant la Seconde Guerre mondiale après s'être opposé à l'imposition par le gouvernement militariste du shintoïsme comme religion d'État, mais son adhésion à l'après-guerre sous son protégé Josei Toda transforma Soka en la plus grande organisation religieuse du Japon. Ikeda, le cinquième fils des fermiers d'algues, a rejoint en 1947 à l'âge de 19 ans et a pris la présidence en 1960. En 1975, il a lancé Soka Gakkai International, le réseau mondial du mouvement.
Au cours des années, Soka Gakkai s'est souvent heurtée à la direction de sa branche bouddhiste Nichiren, Nichiren Shoshu. En novembre 1991, le grand prêtre Nikken Abe excommunia Ikeda, soi-disant pour s'être écarté de l'orthodoxie. "Nous avons senti que l'illumination n'exigeait pas la médiation du clergé", explique Aiken. "Soka comptait environ quatre-vingt-quinze pour cent des membres de Nichiren Shoshu, donc le Nichiren Shoshu a coupé son propre corps si vous voulez. C'est un jour que nous considérons aujourd'hui comme notre journée d'indépendance spirituelle. »Les deux factions restent rivales.
Aujourd'hui, la Soka Gakkai exerce une influence significative sur la politique japonaise via New Komeito, un parti politique fondé en 1964 par Ikeda. Avec un programme pacifiste de centre-droit, elle est maintenant le troisième parti du parlement japonais et le partenaire junior d'une coalition gouvernementale. le Parti libéral-démocrate. Officiellement, le parti fonctionne indépendamment de l'organisation religieuse, mais la Soka approuve New Komeito et tous les présidents du parti ont occupé des postes de direction avec le groupe bouddhiste, selon l'érudit en religion Hiromi Shimada. Les critiques se plaignent que cela viole les principes du pays de séparation de l'Église et de l'État.
En 1979, Ikeda a officiellement quitté ses fonctions de présidentde la division japonaise de Soka Gakkai, un titre maintenant détenu par Minoru Harada, mais à l'âge de quatre-vingt-quatre ans et apparemment en bonne santé, il est toujours le président d'honneur, ainsi que le président de Soka Gakkai International. Il continue à être une figure de division, souvent dit se concentrer moins sur la spiritualité que sur l'auto-agrandissement.
Une exposition itinérante intitulée «Gandhi, King et Ikeda», parrainée par Soka, l'assimile aux leaders des droits civiques martyrs, bien que ses références en matière de paix soient largement limitées à ses écrits et discours, ainsi qu'au statut d'ONG enregistrée auprès des Nations Unies. Il a reçu d'innombrables prix pour la paix et plus de 300 diplômes honorifiques d'universités et d'écoles, y compris Francis Parker de Chicago. En attendant, l'organisation a construit des écoles et des monuments dans le monde entier; Les critiques prétendent que leur principale fonction est de glorifier Ikeda et de promouvoir la foi. Mais selon Brook Ziporyn, un expert du bouddhisme de l'Université de Chicago qui suit les activités de Soka Gakkai, le mouvement n'est pas plus que l'Église catholique ou d'autres dénominations chrétiennes, juives ou islamiques centralisées. "Cela suscite le dégoût chez la plupart des bouddhistes parce que c'est l'exemple extrême de l'une des très rares traditions bouddhistes qui a une vision" exclusiviste "du bouddhisme, l'école Nichiren, plutôt que l'attitude plus typique de vivre et laisser vivre. La majorité des écoles bouddhistes ", a-t-il envoyé par courriel.
Soka a une réputation mitigée parmi les autres leaders bouddhistes locaux. «Ils sont presque une organisation renégate», explique Jesse Zavala, responsable du dharma du Midwest Buddhist Temple dans la vieille ville, qui suit les enseignements du Jodo Shinshu ou école bouddhiste de la Terre Pure. "Soka Gakkai est vraiment quelque chose de différent, pas votre bouddhisme typique, pas qu'il y ait quelque chose de mal à cela. C'est une sorte de culte ici en Amérique et dans le monde. "" Je pense qu'il y a quelques problèmes avec Soka Gakkai ", dit le révérend Shingi Iwaki, prêtre en chef du temple Myogyoji, une congrégation Nichiren Shoshu dans la banlieue ouest de Chicago. «Ils copient essentiellement ce que nous faisions avant la scission, et ils ont tendance à interférer avec nos activités.» Il se plaint que Soka envoie des mailings directement à son temple et aux membres de sa congrégation chaque juin en même temps que la célébration anniversaire de Myogyoji. Il sent que le monument d'Ikeda n'appartient pas au jardin de la paix. «C'est une publicité pour leur religion
Mais Asayo Horibe, président du Conseil bouddhiste du Midwest et membre du Temple bouddhiste de Chicago à Uptown, une autre congrégation de la Terre Pure, a eu des mots gentils pour Soka Gakkai. "Les personnes que j'ai connues dans SGI ici et dans d'autres états, je n'ai eu aucune question au sujet de leur caractère ou de leurs intentions," elle dit. Horibe soutient que l'hommage rendu à Ikeda sur les terres publiques est approprié. "Elle représente quelqu'un qui travaille pour la paix, lutte contre la discrimination raciale et aide ceux qui en ont besoin", ajoute-t-elle, ajoutant que "Paix et Justice" résonne avec elle parce qu'elle est née dans un camp d'internement nippo-américain pendant la Seconde Guerre mondiale. "Pourquoi Daisaku Ikeda ne devrait-il pas avoir sa statue?"
En revanche, en 2010, un donateur anonyme a proposé de payer 180 000 dollars pour installer une plaque en l'honneur d'Ikeda dans le parc des pionniers de San Francisco. L'association de quartier Hill Dwellers a réussi à bloquer l'installation. "Et si quelqu'un voulait donner un cadeau de plusieurs milliers de dollars pour une plaque à, disons, Jésus?", A déclaré à l'époque Vedica Puri, alors présidente de l'association. "Et si un groupe néo-nazi veut une plaque? Une fois que la porte est ouverte, cela crée un risque de problème. »Soka a également offert de l'argent au Chicago Park District en même temps que l'installation de Peace Garden. Dans un courriel daté du 10 septembre 2010, le directeur de l'organisme SGI, Kimberly Herrmann, a demandé au district du parc, grâce à une demande en vertu de la Loi sur l'accès à l'information, d'approuver «la dotation dont nous avons parlé pour l'entretien de la sculpture. "Quand j'ai écrit à Marta Juaniza, porte-parole de Park District, elle m'a répondu:" Bien que des allusions à une dotation aient été mentionnées dans des courriels précédents, le Chicago Park District n'a pas reçu de dotation pour l'entretien de la sculpture. SGI a préféré être impliquée dans l'entretien de la sculpture. "Cependant, quand j'ai contacté Herrmann la semaine dernière, elle a envoyé un email," Nous restons engagés à fournir au District Park les fonds nécessaires pour l'entretien de la statue. Le fait que cela ne soit pas encore arrivé est dû à 1) le retard dans l'installation réelle jusqu'à fin 2011 et 2) une certaine confusion de notre part sur la façon dont les fonds devaient être fournis (nous nous attendions à être facturés par le Park District). Tous les efforts fournis par les bénévoles locaux pour prendre soin de la sculpture sont destinés à être en plus de cet engagement. "J'ai également demandé à Juaniza sur le processus d'approbation de la statue et si chproblèmes d'urch-état ont été considérés. «Les sculptures sont présentées au comité d'amélioration du secteur du district de Chicago Park pour examen», dit-elle.
"La politique du comité stipule que les œuvres d'art ne peuvent pas être acceptées si elles approuvent ou préconisent la religion ou une croyance religieuse spécifique. Le chef de projet estimait que cet art ne le faisait pas. "" L'organisation ne s'est pas présentée comme un groupe religieux, mais plutôt comme un groupe qui cherchait à célébrer la paix et à promouvoir des relations pacifiques entre les races ", ajoute Juaniza. "Ainsi, le jardin de la paix semblait être un site approprié." Helen Shiller, alors échevin de la 46ème paroisse, qui comprend le parc, dit aussi que SGI lui a été présenté comme une organisation de paix, pas un mouvement bouddhiste. Elle est allée à la cérémonie de dédicace de la statue. "Il n'y avait rien de sectaire dans l'événement auquel j'ai assisté", dit-elle. "Je pense que c'est un bon message, pour débarrasser le monde de la souffrance humaine. Souligner le besoin de paix est une bonne idée. »Mais les anciens membres de la Soka que j'ai contactés par le biais de Rick Ross se sont élevés contre la sculpture. "Il est inacceptable d'honorer un dirigeant de la secte milliardaire dont le groupe a détruit d'innombrables vies", a écrit le Dr Mark Rogow, un médecin généraliste de l'Oklahoma, qui a été membre pendant vingt ans. "La Soka Gakkai n'est pas le bouddhisme. C'est l'Ikedaism. Curieux de parler en personne avec les pratiquants actuels de Soka Gakkai, j'ai demandé à Jeri Love, porte-parole de la division centrale de SGI-USA, d'organiser une réunion au centre de South Loop. Quand j'arrive le vendredi soir, le bâtiment bourdonne littéralement d'activité. Comme mon ami l'était, je suis impressionné par l'atmosphère amicale et la diversité ethnique.
Selon un article paru dans le magazine Tricycle, plus de vingt pour cent des dirigeants américains de Soka Gakka sont afro-américains et c'est la seule organisation bouddhiste du pays à tenir des réunions locales et nationales en espagnol. Love me rejoint à la porte avec un sourire accueillant et me conduit à l'étage dans une petite pièce où une poignée de membres - noirs, blancs, latins et asiatiques - psalmodient face à un Gohonzon, le rouleau qui fait l'objet de dévotion pour Nichiren Bouddhistes En chantant "Nam-myoho-renge-kyo" dans une harmonie puissante et bourdonnante, cela ressemble à un chœur d'église croisé avec un essaim de sauterelles. Le chef de chant, Guy McCloskey, chante quelques passages en solo et dirige le rythme en faisant sonner une cloche de prière. Après environ vingt minutes, le chant ralentit et conclut.
Love me présente au groupe et je parle franchement des allégations que j'ai entendues à propos de Soka Gakkai et de la sculpture. Les membres sont troublés par ces affirmations mais ne sont pas trop sur la défensive. Je leur demande de me dire comment ils se sont impliqués avec Soka Gakkai. Harry Rivera rejoint en tant que jeune homme à DePaul après qu'un camarade lui ait parlé du mouvement. "Elle était une Mexicaine, a grandi juive, parlant à un catholique portoricain à propos du bouddhisme", ironise-t-il. "Lors de la première réunion je suis allé à ils ont parlé du fait que vous pouvez devenir absolument heureux et vous pouvez surmonter n'importe quel obstacle dans votre vie. J'ai donc décidé de l'essayer et de l'expérimenter pendant trente-sept ans. »Prier pour le gain matériel et spirituel est chose commune parmi les membres, et Rivera affirme que le chant l'a aidé à acquérir une nouvelle voiture, ce qui a conduit à un travail avec AT & T et la réconciliation avec son père séparé.
Phyllis Goodson, un directeur de lycée qui a grandi luthérienne, a connu le racisme fréquent comme l'un des premiers étudiants afro-américains à la Northern Illinois University à DeKalb. Quand elle a d'abord fréquenté l'église luthérienne du campus, personne ne s'est assis à côté d'elle dans les bancs. "Je me suis demandé s'ils ne pouvaient pas surmonter leurs préjugés dans cet endroit où je suis supposé être le plus sûr, qu'est-ce qui se passe avec ça?", Dit-elle. «À ce moment-là, j'avais terminé et je ne suis jamais retournée.» Après avoir obtenu son diplôme en 1971, une amie du secondaire l'a présentée à Soka, ce qui lui a permis de travailler à travers son amertume et de trouver la paix intérieure. "Donc, quand les gens disent ['Paix et Justice'] n'est pas approprié pour l'espace public, eh bien, je ne suis pas d'accord. C'est basé sur une scène où des enfants jouent et quelqu'un est exclu. Je sais ce que cela fait.
les membres m'emmènent faire une visite du centre. Dans un coin, des dizaines de grues en origami pendent du plafond, un symbole de paix et d'hommage à Sadako Sasaki, une victime de l'attentat d'Hiroshima qui a plié 1.000 grues pour la chance avant de succomber à la leucémie. Nous nous arrêtons dans une pièce beaucoup plus grande de Gohonzon en bas où des dizaines de mâles, dont la moitié sont afro-américains, sont réunis pour une réunion de jeunes hommes, étudiant le Sûtra du Lotus et discutant de la façon de l'appliquer dans leur vie quotidienne. Dans une société qui envoie plus de jeunes hommes noirs en prison que de collège, c'est un spectacle remarquable. Enfin, nous visitons la résine moulée de la sculpture, presque identique à la bronze, dans l'atrium avant du bâtiment. En regardant la statue, je demande aux membres ce qu'ils penseraient d'un monument dans un parc public en l'honneur de Joseph Smith, fondateur de l'Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours. Après tout, le mormonisme était autrefois considéré comme un culte destructeur mais aujourd'hui, surtout après la candidature de Mitt Romney, il est reconnu comme une religion dominante. Les adeptes ne pensent pas qu'il est juste de comparer Smith à Ikeda, mais je maintiens que les mormons voient aussi leur leader comme un homme qui luttait pour la paix, la justice et les droits de l'homme.Après qu'ils m'envoient un chaleureux adieu.
je pédale vers le nord. nuit froide et peser mes pensées sur Soka Gakkai. Il y a un étrange décalage entre les membres que j'ai rencontrés au centre, dont les cœurs semblent être au bon endroit, et les aspects plus problématiques de leur mouvement religieux. La semaine prochaine, j'appelle Mark Weinberg, un avocat local des droits civiques, pour son opinion. à savoir si "Paix et Justice" appartient au Jardin de la Paix. "Un culte est simplement une religion à ses débuts", argumente-t-il. "Ils ne font pas la promotion de leur théologie et la sculpture n'est en aucun cas coercitive, donc, en supposant que le district de Park ne favorise pas une religion par rapport à une autre, je pense que c'est permis par la constitution. Je ne vois pas la statue comme annonçant une religion. Je le vois comme la publicité du travail d'un grand homme. "" J'ai une vision assez libérale de cette question ", concède-t-il. "Certaines personnes veulent sortir la religion de la sphère publique. Mais je suis d'accord pour avoir un arbre de Noël, une menorah et une étoile-et-croissant à Daley Plaza. Je trouve le plus de voix sur la place publique, le mieux, y compris les voix religieuses.
https://newcity.com/2012/12/06/culture- ... cago-park/ Auteur : Yvon
Date : 01 avr.18, 21:37
Message : Daisaku Ikeda est un intellectuel, philosophe et personnage religieux japonais. Troisième président de l’association bouddhiste Sōka Gakkai entre 1960 et 1979, il est, depuis 1975, le président de la Sōka Gakkai Internationale (SGI), qui regroupe les associations Soka de différents pays.
Ayant œuvré dans des domaines aussi variés que la philosophie, la fiction, la critique, les essais, la poésie, la photographie ou encore la théologie du bouddhisme de Nichiren, il est professeur et docteur honoraire de plusieurs universités et membre honoraire du Club de Rome.
Auteur : zeste de savoir
Date : 02 avr.18, 03:52
Message : J'ai exerce un recours aupres d'Ikeda a propos de la triste condition des membres de la base de Gakkai, qui ne sont meme pas capable de payer leurs factures d'electricite, et je lui avais proposer de faire cesser zaimu. Bien qu'Ikeda ait dit, "Ok. Nous mettrons une fin a zaimu cette annee", il n'a pas ete fidele a sa promesse.
Le dix Mai 1992, j'expediai une lettre de 21 pages a Ikeda. Dans cette lettre, j'ecrivis tout. Zaimu, elections, et le comportement ehonte qu'Ikeda lui-meme avait auparavant perpetre a mon endroit. Je tins Ikeda responsable pour tout. Pourtant, la reponse fut juste comme je m'y attendais. Le 13 Mai, Je recu soudain un appel telephonique du dirigeant en titre de la Soka Gakkai a Hokkaido, Kouzou Takama, me convoquant a lui. Lorsque mon mari et moi nous rendimes a la convocation le jour suivant, on me dit vertement, "Donnez nous une lette de demission. Toute raison sera vien venue".
C'etait clair que c'etait la reponse d'Ikeda a ma lettre. Je refusai. Le jour suivant, a 12:30, nous recumes un appel telephonique. Cette fois on me dit unilateralement, "vous etes viree". C'est la maniere avec laquelle je fus informee de la fin de mes activites dans Gakkai. Mes trente six annees d'engagement au sein des activites de Gakkai prenaient fin d'une maniere extremement peu satisfaisante.
Comme on peut s'y attendre, j'etais ecoeuree de la facon par laquelle Gakkai nous traitait ensuite. Et bien voila, une semaine apres que je sois renvoyee, ils inventerent une histoire au sujet d'un emprunt d'argent, et porterent plainte contre nous. Puis ils firent circuler le mensonge chez des membres de Gakkai en disant, "Mme Nobuhira a prits ses distances avec Gakkai car elle a des dettes enormes".
Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 04:07
Message : Daisaku Ikeda naît le 2 janvier 1928 à Omori, près de Tokyo. Fils d'un pêcheur d'algues, il est le cinquième d'une famille de huit enfants. Sa jeunesse est marquée par la pauvreté et la maladie (il est atteint à la fois d'une pleurésie et de la tuberculose). Lorsque son père prend sa retraite à la suite de problèmes de santé, Daisaku Ikeda se voit contraint d'abandonner sa scolarité, en 1940. Mais il continue à se former de manière autodidacte. L'année suivante, le Japon entre en guerre. Ses quatre frères aînés sont enrôlés dans l'armée, et l'aîné est tué au combat en Birmanie. L'horreur et la dévastation dont il est témoin, nourriront par la suite, son engagement pour la paix2.
Rencontre avec le bouddhisme
En 1947, à l’âge de 19 ans, Daisaku Ikeda participe à une réunion de discussion de la Sōka Gakkai, il y rencontre Josei Toda, qu'il choisira comme maître spirituel. Il commence alors à pratiquer le bouddhisme de Nichiren sous sa conduite. Durant les dix années qui suivent, il soutient les efforts de Josei Toda visant à reconstruire la Sōka Gakkai, qui avait été détruite par le gouvernement militariste durant la Seconde Guerre mondiale. Parallèlement, Daisaku Ikeda travaille pour la maison d’édition de Toda, et celui-ci lui prodigue, jusqu’en 1957, une éducation de niveau universitaire3. Le 3 mai 1960, deux ans après la mort de Toda, il devient le troisième président de la Sōka Gakkai. La même année, il commence une série de voyages en Amérique, en Asie et en Europe pour faire connaître le bouddhisme de Nichiren hors du Japon
Auteur : zeste de savoir
Date : 02 avr.18, 04:25
Message : Ah le président IKEDAAAAAA !
si ça vous amuse...voilà mon "expérience":
« J'ai quitté une secte »
Recherchant à pratiquer le bouddhisme, j'ai rencontré des gens qui m'ont
fait entrer dans une secte japonaise "la soka gakkai"; je tiens à mettre en
garde contre ce mouvement que j'ai quitté au bout de cinq ans, avec beaucoup
de colère et d'amertume; j'ai le sentiment d'avoir été abusé et détourné de
ma recherche initiale...
Donc désirant pratiquer "le" bouddhisme, je contacte une personne qui
pratique et me met en relation avec un "responsable" de manière sympa, au
resto, discussion sympa, "amicale", puis quelques "témoignages" écrits sous
forme de photocopies, puis invitation à venir voir comment ça marche .Donc,
invitation à une pratique en groupe chez l'un des pratiquants; un petit 1/4
d'h de "méditation" (récitation d'un texte et répétition du mantra), puis
discussion (apparemment libre) sur un sujet; mais d'abord chacun se présente
façon "alcooliques anonymes" : "bonjour je m'appelle x ou y, je pratique
depuis x années, je suis plombier etc.."; bon, sympa, donc comment ça
marche: matin et soir on fait le 1/4 d'h (ou plus, comme on veut) de
méditation chez soi et deux fois par mois on fait en groupe "pour
s'entraîner; bon, sympa...ah oui et puis aussi, les réunions il faut les
"préparer", en faisant le bilan de la réunion précédente (et les
Statistiques..!)(statistiques où l'on doit noter le nombres de personnes
ayant assister à la réunion, hommes, femmes, jeunes hommes, jeunes femmes,
inscrits à la sgi ou non) (si,si , c'est vrai)
Donc, on "pratique" matin et soir (normal) ,et on se rencontre deux fois par
mois, et deux fois supplémentaires pour ceux qui préparent, les
"responsables". Les statistiques sont "transmises" au responsable du
"chapitre" qui regroupe un certains nombres de groupes sur un secteur...Le
thème de la réunion est choisi en réunion préparatoire et tout est
méticuleusement encadré pour que les membres ressortent de la réunion "plein
de joie et d'espoir"...alors on cherche des expériences individuelles de
préférence du genre "j'avais un cancer, j'ai pratiqué, j'ai guéri" (mais en
plus subtil!!) (Encore que!!);
et puis on fait la connaissance au passage,
de "l'organisation" "la soka gakkai".. et de son président "le président
ikeda" "sensei" Ahhhhhhhhhhhh!!!!
(il est d'ailleurs en photo sur le mur ou à côté de l'autel bouddhique, seul
ou avec sa femme); Donc le "sensei" est vraiment quelqu'un d'extraordinaire,
on a LA chance qu'il soit vivant il faut en profiter!! Et puis pour mieux
comprendre "le coeur de sensei" on peut s'abonner aux différentes revues et
"s'imprégner" de ses discours...c'est un grand homme vous savez, il a
rencontré gorbatchev (il a même fait un livre avec lui) il a rencontré
mandela, il a rencontré mitterand et bien d'autres....
Bien mais le bouddhisme dans tout ça?
Ah oui, "nous" pratiquons LE vrai bouddhisme, le bouddhisme "Orthodoxe",
celui de Nichiren Daishonin, Le Bouddha FONDAMENTAL....tous les autres c'est
"pipeau"..on a la preuve, c'est écrit, tu comprendra "au fur et à
mesure"...ah bon..moi je suis accommodant et puis je veux pas faire de
vagues, tous ces gens sont charmants, je "comprendrai" plus tard, c'est
normal, pour l'instant je suis novice en la matière...Donc si tu pratiques,
tu auras des "bienfaits", et en plus si tu "transmets" tu auras encore plus
de bienfaits, donc parles en autour de toi, à ta famille, à tes amis, à tes
collègues, à tous les gens qui souffrent (c'est pas ce qui manque!), même si
ils ne disent le mantra qu'une seule fois ils sont "sauvés"....
Ouah, mais c'est génial votre truc, je me sauve et je sauve les autres en
même temps! Ah ben oui, on est bouddhiste n'est ce pas?, et un bouddhiste ça
pense aux autres...
Ca y est, j'ai mon outil de travail sur moi et mon bâton de pèlerin, à moi
le monde, l'éveil du Bouddha (fondamental...), la PAIX dans le MONDE...tout
ce dont je rêve quelque part...
Bon, je suis "novice en la matière", mais pas niais ni stupide, et puis j'ai
Internet (même l'adsl !), je fais quelques recherche sur "soka gakkai" et
que trouve-je...? ce serait une secte?
(Soit les sites sont des sites de la soka gakkai qui fait sa pub d'une
manière ou d'une autre, soit les autres sites sont des sites anti-sectes)
(et ce, en France comme ailleurs dans le monde..);
Euh,je sais pas comment vous le dire, mais j'ai entendu dire que la soka
gakkai était une secte...Tsss-Tsss tout ça c'est des râgots ! les
journalistes savent qu'ils peuvent faire du papier avec les soi-disant
sectes!
et puis il y à "Nikken" le moine "corrompu" qui veux la peau du
président ikeda (Ahhhhhhhhhhhhh!)...
Euh, mais j'ai lu que la soka gakkai était répertoriée comme secte sur les
différents rapports français (gest-guyard-brard etc..)
Tsss-Tsss....ça c'est seulement en france, d'ailleurs "on" est reconnu comme
ONG (organisation non gouvernementale) à l'ONU, à l'UNESCO et tout et
tout.."ON" est une association qui lutte pour "la paix-la culture-et
l'éducation-en se basant sur le bouddhisme de nichiren daishonin"...
Ah bon? ça m'embête un peu quand même... Meuh non! pratique et tu verras! tu
comprendras....au fur et à mesure...!
C'est vrai, c'est peut-être des ragots et puis ils sont si sympathiques
(enfin pas tous..), si dévoués..et puis on peut obtenir tellement de
bienfaits avec la pratique...après tout y a pas grand chose à perdre, je
suis libre de partir quand je veux personne ne me retient...on ne me demande
pas d'argent non plus...sauf au mois de juin c'est "ZAÏMU" le DON...on donne
ce qu'on veut tu sais, on est pas obligé, mais bon , l'argent c'est le nerf
de la guerre à notre époque ; et puis on a fait une réunion ou on a bien
expliqué "le sens du don dans la soka gakkaï" (tous les ans on fait cette
réunion d'ailleurs, toujours au mois de mai, avant "ZAÏMU" )..ce qui est
important c'est de donner "avec le coeur" tu comprends? c'est pas la
quantité qui compte, c'est "le coeur"..et puis aussi de donner un peu plus
chaque année, de faire un petit effort supplémentaire pour les autres , mais
en fait, tu verras....PLUS TU DONNES, PLUS TU RECOIS....tiens d'ailleurs
j'ai "une expérience" à ce sujet (du genre j'avais pas un sou j'ai quand
même donné 10 euros et paf ! le lendemain je trouve 20 euros dans la rue)
(variations à l'infini sur ce thème)
Et puis, le don est déductible des impôts..super..!
Tiens on va "se lancer" un défi, on va faire venir chez nous l'exposition
"gandhi-king-ikeda-bâtisseurs de la paix", pour faire connaître "sensei"
(Ahhhhhhhhhh!) et la sgi autour de nous; et puis tu sais, les "activités
bouddhiques" ça rapporte plein de "bienfaits" (KUDOKU)..et donc on fait
circuler, l'air de rien cette fameuse exposition qui associe mahatma Gandhi,
martin Lutherking et daisaku ikeda (Ahhhhhhhhh!) en France et dans le monde
entier ....et ça paraît dans les journaux et sur le net et on parle de nous
et de sensei (Ahhhhhhhhhhhh!)
Et donc il faut des réunions pour préparer cette expo, et puis des réunions
pour préparer ces réunions...sans compter bien sûr les réunions habituelles
et les réunions pour préparer les réunions habituelles...!
Ah puis aussi, maintenant que tu commences à connaître et à bien pratiquer
tu pourrais "entraîner" x ou y...il (ou elle) a des difficultés en ce moment
(ou il ou elle commence la pratique) tu vois avec lui ou elle et vous
pratiquez ensemble,
n'oublie pas de lui lire quelques phrases
d'encouragements de sensei (Ahhhhhhhhhh!)...
à suivre.... !!
Tiens ce mois-ci il y a une réunion pour l'étude du "gosho"; c'est quoi le
"gosho"? ce sont les écrits de "nichirenlebouddhafontamental"; il dit
CLAIREMENT que les autres formes de bouddhisme sont "ERRONNEES" et que le
seul vrai bouddhisme est le sien (donc le nôtre);
pour comprendre cela il
faut bien étudier ses textes "goshos" et aussi les enseignements du
président ikeda (Ahhhhhhhh!)
Il dit aussi que les pratiquants seront PERSECUTES à cause de leur pratique,
,et que c'est LA PREUVE que cette pratique est la bonne!!!AH ouais! donc les
journalistes, les histoires de secte, nikken le moine corrompu et tout et
tout c'est des persécutions parce qu'on pratique correctement! j'ai
compris...Super!
Tiens parlez moi un peu de "NIKKEN" c'est qui?
Lui c'est le grand patriarche le l'école religieuse (nous on est LAÏCS)
nichiren shoshu; mais il est corrompu (on a les preuves, il a été avec des
geishas, entre autre...), alors il faut pratiquer pour qu'il parte!! je te
propose une heure par semaine le samedi de 9 à 10...chez moi ou chez toi..et
plus on sera mieux cela sera!
Banco....j'ai que ça à faire de toute façon, hein, je suis au chômage, ou
alors le samedi ça tombe bien je ne travaille pas et puis il n'y a pas
"d'activité bouddhique" ce jour-là (enfin il n'y en avais pas)
Tiens au fait, j'ai vu sur le net qu'il y avait d'autres écoles du
bouddhisme de nichiren?
Tsss-Tsss ce sont des écoles ERRONNEES, insignifiantes d'ailleurs,
pratiquement en voie de disparition; "NOUSLASOKAGAKKAI" on est 12 millions
dans le monde entier et c'est le président ikeda (Ahhhhhhhhhhh!) qui a fait
connaître, grâce à ses efforts désintéressés, le VRAI BOUDDHISME au monde
entier! Il a d'ailleurs reçu plusieurs dizaines de prix et de diplômes de
facultés et institutions à travers le monde!pour le remercier de ses actions
en faveur de "lapaixlacultureetléducation" ...Il donne de l'argent aussi?
Ah
oui mais non tu vois ce qui compte c'est le coeur tu comprends? sinon tu
comprendras plus tard, pratique encore pour comprendre le coeur de sensei!
(Ahhhhhhhhhh!)
Donc ayant tout en main c'est à dire:
-ma pratique biquotidienne
-mes réunions bihebdomadaires (pratiquement)
-mes week-end bimensuels d'activités bouddhiques (en gros..)
-mon abonnement aux revues (hebdomadaires et mensuelles)
-mon Zaïmu annuel
il est venu à mes oreilles (curieuses) qu'on pouvait aussi faire des
séminaires..comme je ne fais pas les choses à moitié, hop un séminaire:
trois jours de pratique et de convivialité "boy-scout" et un petit don au
passage pour remercier (et puis le don, c'est sources de BIENFAITS)...Un
séminaire par an en moyenne...
....
malgré toutes ces bonnes choses, dès fois la vie est difficile; alors quand
ça ne va pas il faut pratiquer plus et puis aussi demander des DIRECTIVES à
ses aînés dans la pratique..et pourquoi pas faire un séminaire pour se
ressourcer..sans oublier de faire des activités et encore des activités car
"les-activités-dans la-soka-gakkai-sont-sources-de-bienfaits"!!! et ces
activités c'est quoi?
"SHAKUBUKU"= "transmettre la loi" ce qui consiste à organiser n'importe quoi
où on pourra inviter des gens et leur faire connaître la valeur de
l'organisation et du président-sensei-ikeda (Ahhhhhhhhhh!)
Tout est possible: pique-nique, expo sur la paix, expo sur l'environnement,
rallye campagnard, conférence sur la non-violence et j'en passe...
ne pas oublier de comptabiliser les invités pour les statistiques (!!!) et
envoyer le compte-rendu à l'organisation qui fera passer le message à sensei
(Ahhhhhhhhhh!) et si malgré tout ça ne va toujours pas dans ta vie, deux
explications:
1/tu ne pratiques pas avec le coeur de sensei (Ahhhhhhhhh!)
2/ c'est la preuve que tu pratiques correctement car les "obstacles"
apparaissent..!
au choix.....
J'allais oublié de parler du plus important...le mandala, le fameux
GOHONZON, l'objet de culte "suprême"..:
on pratique ce bouddhisme matin et soir en récitant un mantra (quelques
mots) devant un mandala (image, représentation du monde..); jusque là rien
que de bien classique...;le problème c'est que le seul "bon" gohonzon c'est
celui de la soka gakkai qui est en fait une copie d'un gohonzon du 17 ème
siècle, d'un "patriarche" "orthodoxe" "nichikan"..tous les autres sont
"érronés" (surtout celui de nikken)(kss-kss); la théorie (héritée de la
nichiren shoshu) cest que :
1/nichiren est le bouddha FONDAMENTAL
2/ce sont eux qui représentent le seul le vrai bouddhisme celui de nichiren
DAI shonin le grand maître)
3/le DAI gohonzon est le seul, le vrai LE gohonzon
Or, suivez-moi bien, la nichiren shoshu (qui détient le DAIgohonzon) s'est
fâchée avec le président-sensei-ikeda (Ahhhhhhhh!) en 1990
et donc la soka gakkai a du trouver une solution de secours et un nouveau
gohonzon "qui marchait", qui lui fut généreusement offert par des moines
"anti-nikken"...après un petit tour de passe-passe rhétorique le gohonzon de
nichikan est devenu le seul valable et distribué dans le monde entier (à 12
millions d'exemplaire) par la soka gakkai, et que on vous fait explique
indirectement, je dirais de manière "subliminale" que c'est un objet magique
qui peut réaliser tous vos désirs et tous vos rêves
...enfin bon ,maintenant vous pouvez commencer à vous faire une petite idée
de "comment ça marche " à la soka gakkai...enfin j'espère que vous ne vous
ne vous laisserez pas avoir, ni par ceux-là ni par d'autres escrocs du même
acabit!
salutations à tous
patrick
Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 04:59
Message : À partir des années 1970, en pleine guerre froide, Le président Ikeda entreprend des rencontres avec des personnalités universitaires, culturelles et politiques lors de voyages de diplomatie citoyenne afin de promouvoir le dialogue et contribuer à l'apaisement des tensions internationales. Le 8 septembre 1968, il lance un appel pour la normalisation des relations sino-japonaises lors d'un discours à Tokyo devant 20 000 étudiants. En 1974, il rencontre le Premier ministre russe Alexis Kossyguine à Moscou. La même année, il se rend en Chine et rencontre le Premier ministre Zhou Enlai.
Premiers dialogues
Au cours des années 1970, Daisaku Ikeda mène une série de rencontres et dialogues avec des personnalités politiques et des experts dans différents domaines. Plusieurs de ces rencontres donnent lieu à la publication de livres de dialogues, abordant les enjeux de notre époque sous différents angles, en particulier l'angle religieux. Le premier de ces entretiens a lieu en 1972 avec l’historien britannique Arnold Joseph Toynbee, suivi en 1974 par celui avec l'écrivain André Malraux, puis avec l’historien d’art et membre du Collège de France et académicien français, René Huyghe9.
Auteur : algol-x
Date : 02 avr.18, 05:49
Message : Le président d’honneur de la Soka Gakkai internationale n’est pas réapparu en public depuis le mois de mai 2010. Alors que courent des rumeurs d’une grave maladie, Madame A, infirmière de son métier, qui s’occupait du patient Ikeda jusqu’en 2014 parle.
Fauteuil roulant, difficultés d’élocution, difficultés de communication… Que ce passe-t-il dans cet hôpital sous haute sécurité ?
« Selon les journaux et les revues de la Soka Gakkai, Ikeda « sensei » est en pleine forme et débordant d’activités. Or, alors que j’étais à son chevet il y a quelques mois, il ne pouvait pas marcher sans difficultés et avait du mal à lire, à écrire et à converser. Des équipes de médecins et d’infirmières se relayaient vingt-quatre heures sur vingt-quatre et un secrétaire posté dans la chambre surveillait son état qui laissait à penser qu’il pouvait se passer quelque chose à tout moment ».
Celle qui parle ainsi en s’exprimant d’une manière tendue est madame A, une infirmière travaillant au Nangen Center, un établissement médical lié à la Soka Gakkai, situé dans le quartier de Shinanomachi à Tokyo.
D’après Madame A, le président Ikeda est toujours hospitalisé dans une chambre spéciale au 4ème et dernier étage de cet établissement. Seules quelques personnes concernées sont au courant de l’état de santé du président d’honneur. Elle-même a été affectée à ses soins pendant plusieurs mois.
« Sensei souffre d’infarctus cérébraux en deux endroits. Dans la mesure où il souffre déjà de diabète, des complications peuvent se produire. Ne pouvant se déplacer par ses propres moyens, il utilise un fauteuil roulant ».
C’est en 2013 que Madame A fut affectée aux soins de Daisaku Ikeda. A l’origine, le Nangen Center est un établissement médical où les employés de la Soka Gakkai affiliés à l’assurance maladie de la Soka Gakkai vont se faire ausculter. Du rez-de-chaussée au 3ème étage, il ne diffère en rien d’un autre hôpital.
« Il est certain que les employés du Nangen Center ignorent la présence au 4ème étage de Sensei. Moi-même, qui travaillait dans les étages inférieures ne pouvait pas l’imaginer, même en rêve ».
Sur ordre de l’infirmière en chef, Madame A se rendit au dernier étage de l’hôpital. A sa sortie de l’ascenseur, elle fut braquée de leur regard perçant par des gardes en uniforme. Tout en ressentant la lourdeur de l’atmosphère de l’étage tout entier, elle ouvrit la porte de la chambre et son odorat fut immédiatement envahi par une odeur d’Ikebana. Et puis, elle vit un vieillard amaigri allongé dans un grand lit.
« C’était Ikeda Sensei. Quelle ne fut pas ma surprise de voir devant moi l’homme que je respecte le plus. J’étais tellement heureuse de l’honneur qui m’était fait que mes larmes furent sur le point de couler.
A l’époque où je pris mon service à ses soins, il était encore en forme. Une fois ou deux par semaine, il sortait de sa chambre pour respirer l’air extérieur ».
Par la suite, l’état de santé de Daisaku Ikeda s’est aggravé au point où il ne fut même plus en mesure de sortir de sa chambre. Madame A raconte.
« Au début, en raison de son état de santé, Sensei avait des problèmes d’élocution. Il était parfois difficile de comprendre ce qu’il disait. Pour autant, il pouvait tenir une conversation. Lorsque des dirigeants venaient lui rendre visite, il leur parlait de diverses choses. Il pouvait également manger seul. Il regardait la grande télévision installée dans la chambre ou lisait.
Je pense qu’il a été capable de monter sur la terrasse ou de lire et écrire jusqu’en janvier de l’année dernière (2013). En raison de son grand âge et de ses infarctus cérébraux, des symptômes de démence se sont développés ».
Un incident s’est produit dans la chambre de Daisaku Ikeda avant le grand séisme de l’est du Japon.
« La chambre était décorée des écrits de Sensei et des photos prises avec les célébrités de ce monde. Au début du mois de février, alors qu’il était assis sur son fauteuil roulant, il se mit à crier d’une voix étrange et a commencé à jeter ses écrits et ses photos. Affolés, le secrétaire et les infirmières l’ont maîtrisé.
Par la suite, il s’avéra dangereux de laisser des choses à sa portée et tous les objets de décoration furent évités. Risquant de briser ses propres lunettes, elles lui furent confisquées ».
Au mois de mars, l’état de santé de Daisaku Ikeda s’aggravait
« Il y avait des jours où il ne reconnaissait plus son entourage. Il avait parfois du mal à communiquer avec ses visiteurs ou les infirmières ».
Ses autres capacités s’amenuisaient de jour en jour
Il commença à avoir des difficultés à mastiquer au point où il ne put plus se nourrir convenablement. Le personnel soignant craignait qu’il s’étrangle en avalant. Les cas de personnes âgées décédant à la suite d’une pneumonie par aspiration sont en effet nombreux. Il fut dès lors alimenté trois fois par jour en nutriments à l’aide d’une sonde placée dans le cou.
Lorsqu’on ne peut plus manger par voie orale, on maigrit rapidement. Par rapport aux photos que vous connaissez, Sensei a perdu plus de dix kilos. Il n’est plus rien de ce qu’il était lorsqu’il était en bonne santé. L’éclat de son visage a disparu et ses joues sont creuses ».
Pour quelle raison, Madame A, membre fervente de la Soka Gakkai a-t-elle décidé de révéler l’état de santé de Daisaku Ikeda ?
« Je suis devenue membre de la Soka Gakkai par affection pour Ikeda Sensei. Mon respect pour lui n’a pas varié.
Lorsque j’ai commencé mon service de soins à son chevet, il était encore en forme. Pour moi, c’était un « Dieu ». Or, à force de m’occuper de lui, je me suis rendu compte que même lui était un homme qui un jour allait mourir.
A nous, les membres qui nous inquiétons de sa santé, les dirigeants ne font que dire « Sensei va bien ». Cependant, cette attitude ressemble à de la tromperie vis-à-vis des membres et à un sacrilège vis-à-vis de Sensei.
Je pense qu’il est temps d’informer les membres de base de l’état de santé de Sensei afin que tous puissent pratiquer pour lui. Telle est la raison pour laquelle j’ai décidé de parler ».
Tout en soignant un Daisaku Ikeda s’affaiblissant de jour en jour, des jours d’amertume se suivirent pour madame A.
« Près de la chambre, il y avait une salle de bain en marbre dans laquelle il entrait souvent auparavant. Quand il ne fut plus en capacité de l’utiliser, on utilisa alors une baignoire pour les soins dans laquelle on pouvait pénétrer avec le fauteuil roulant, située à côté de la baignoire en marbre. Quatre ou cinq personnes étaient nécessaires pour lui faire prendre son bain. Lorsque j’étais en fonction, c’était deux fois par semaine.
Les infirmières changeaient les couches et les personnes de grade plus élevé lavaient le visage de Sensei vêtu d’une chemise d’hôpital ».
Le personnel soignant travaillant à l’étage de Daisaku Ikeda étaient au nombre de trois dans la journée et de deux la nuit, se relayant vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Il y avait également trois gardes dans la salle des gardes, un devant l’ascenseur et un devant la chambre de Daisaku Ikeda. Dans cette dernière, une caméra de surveillance vérifiable depuis la salle des infirmières était placée non loin du secrétaire.
L’escalier est doté d’une porte coupe-feu normalement fermée à clef. Pour cette raison, on ne peut monter à l’étage ou en descendre que par l’ascenseur. A la sortie de l’ascenseur, les gardes en faction surveillent les entrées et les sorties.
« Ce qui m’a d’abord surprise, c’est l’atmosphère à la fois lourde et pompeuse qui régnait au dernier étage. Les gardes étaient membres de la garde rapprochée, très athlétiques, maitrisant certainement un ou plusieurs sports de combat à mains nues. Leur regard était glaçant et ils ne nous quittaient pas des yeux, même nous qui travaillions au quotidien. Les étages inférieurs étaient gardés par des membres de Kinjôkai ».
A quoi correspondent la garde rapprochée ou Kinjôkai ? Selon les familiers de la Soka Gakkai :
« La garde rapprochée est le corps formé de l’élite des gardes et protège directement le président Ikeda. Kinjôkai est constitué de ceintures noires de Judo ou d’Aikido venus de tout le pays. Leur principale activité est également la protection de Daisaku Ikeda ».
Non seulement l’organisation des gardes du corps était tenue secrète, la construction de la chambre avait aussi ses secrets.
« La chambre de Sensei mesure environ 7 mètres de longs sur 5 mètres de large. Le mur de couleur blanche est en acier. On m’a expliqué que « même à une mitrailleuse n’en viendrait pas à bout ». On m’a également dit que la fenêtre de la chambre est à l’épreuve des balles ».
Il s’agit d’une solidité digne d’installations militaires. Par contre, dès qu’on pénètre dans la chambre, on se trouve devant une pièce de style occidental très élégante.
Dans sa chambre, Sensei dispose d’un grand lit. Les draps, le dessus de lit, l’oreiller ont tous des motifs de dessin cachemire couleur or. A côté du lit, il y a une chaise et une table. Lorsqu’il se sentait bien, il s’y installait souvent et composait des poèmes.
Il y avait également un ameublement composé d’une table, d’un sofa et de deux chaises pour recevoir les visiteurs.
Un tapis était étalé dans la chambre. On m’a dit « c’est le même que celui du palais de Buckingham ». C’est complètement différent des chambres d’hôpital habituelles. On dirait tout-à-fait la chambre d’une maison de style occidental comme on en trouve à l’étranger ».
Une imposante télévision, ses écrits et ses photos étaient alignés sur une étagère. Des fleurs de toutes sortes étaient disposées dans un vase.
Madame Kaneko (son épouse) venait plusieurs fois par semaine et changeait les fleurs. Lorsqu’elle montait au dernier étage par l’ascenseur, les gardes et le personnel médical l’accueillaient au garde à vous. En général, elle ne restait pas longtemps. Une heure tout au plus avent de rentrer chez elle ».
Une règle importante était imposée dans la chambre de Daisaku Ikeda
« La première chose qu’on m’a dite est de ne pas éteindre la lumière de la chambre. Si la lumière est éteinte, Sensei ne peut pas dormir. Il inversait souvent le jour et la nuit et dormait la journée. Plusieurs dizaines de lampes fluorescentes ont été installées ».
Les journaux et revues de Soka Gakkai publient des messages de Daisaku Ikeda et font état de rencontres et de discussions avec des personnages importants. D’après Madame A, son état ne lui permet absolument pas de faire de telles activités.
(traduit d'après un article de l'hebdomadaire "Shukan Bunshun" paru le 27/10/2011).
https://ecolefuji.jimdo.com/2015/06/22/ ... aku-ikeda/ Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 06:05
Message : Message déjà traité et complètement érronné . Un ami pratiquant a rencontré au Japon le président Ikéda en 2014 , il était en parfaite santé . Moi même j'ai vue une Vidéo de 2015 du président Ikéda en séminaire à Trest en 2016 .
Mais bon cette calomnie , une fois de plus , venant de l'Ecole Fuji (Nichiren Shoshu) n'a rien d'étonnant ce n'est pas la premiere fois ni la dernière.
Voir :
http://www.forum-religion.org/mahayana/ ... l#p1232248 Auteur : zeste de savoir
Date : 02 avr.18, 06:37
Message : Si la propagande du parti affirme que Staline qui est en train d'agoniser va bien, c'est qu'il va bien !
Daisaku Ikeda et l'ex général Manuel Noriéga,
ancien dictateur accusé de meurtre d'opposants et extradé en france pour blanchiment d'argent.
Arborant fièrement sa médaille ! (soka ?)
Auteur : algol-x
Date : 02 avr.18, 07:04
Message :
Sur le thème "les bonnes fréquentations d'Ikéda": le voila avec Ceaușescu...

Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 07:09
Message : Daisaku iKEDA lLe seul homme pouvant dialoguer avec tout le monde . Car tout le monde, même vous ,avez l'état de bouddha .
Le Président Ikeda un marathonien pour la paix :
Dialogues menés par Daisaku Ikeda
D. Ikeda a mené de nombreux dialogues :
1967
Comte Richard Coudenhove-Kalergi, philosophe autrichien.
1972
Arnold Toynbee, historien anglais.
1974
André Malraux, écrivain français et ancien ministre de la Culture.
René Huyghe, historien d'art et membre de l'Académie française.
Mikhaïl Sholokhov, prix Nobel de littérature.
Zhou Enlai, premier ministre chinois.
1975
André Malraux, écrivain français et ancien ministre de la Culture.
Deng Xiaoping, vice premier ministre chinois.
Henry Kissinger, secrétaire d'État des États-Unis.
Aleksei Kossyguine, premier ministre de l'URSS.
Kurt Waldheim, secrétaire général de l'ONU.
Norodom Sihanouk, ancien roi du Cambodge.
Aurelio Peccei, membre fondateur du Club de Rome.
1978
John Kenneth Galbraith, économiste et professeur d'économie politique à l'Université Harvard.
Bryan Wilson, professeur à l'Université d'Oxford.
1979
J.P. Narayan, dirigeant politique indien et disciple de Gandhi.
1980
Deng Yingchao, veuve de Zhou Enlai.
1981
Nikolai Tikonov, premier ministre de l'URSS.
Todor Zhivkov, président du Conseil d'État bulgare.
Bryan Wilson, professeur à l'Université d'Oxford.
Anatoly Lougaflov, recteur de l'Université de Moscou.
1982
Javier Pérez de Cuellar, secrétaire général de l'ONU.
1983
Rudolphus Marie Lubbers, premier ministre hollandais.
Hu Yaobang, secrétaire général du Parti communiste chinois.
Paul Hartling, haut commissaire de l'ONU pour les réfugiés.
1984
Joao Baptista de Oliveira Figueiredo, président du Brésil.
Fernando Belaunde Teny, président du Pérou.
1985
Rajiv Gandhi, premier ministre de l'Inde.
1986
Raul Alfonsin, président de la République d'Argentine.
Johan Galtung, spécialiste en études sur la paix.
Miguel de la Madrid, président de la République du Mexique.
1987
Linus Pauling, prix Nobel de chimie et prix Nobel de la paix.
Norman Cousins, écrivain et enseignant américain.
Joaquin Balaguer, président de la République dominicaine.
Michel Baroin, président de la Mission pour la Commémoration du bicentenaire de la Révolution française et de la Déclaration des droits de l'homme.
Nikolaï Ryzhkov, premier ministre soviétique.
Jacques Chirac, maire de Paris.
Edgar Faure, président de la Mission pour la Commémoration du bicentenaire de la Révolution française et de la Déclaration des droits de l'homme.
Alain Poher, président du Sénat français.
René Huyghe, membre de l'Académie française.
Wojciech Jaruzelski, président du Conseil d'État polonais.
1988
Bhumibol Adulyadej, roi de Thaïlande.
Mahathir Mohamad, premier ministre de Malaisie.
Jaime Lusinchi, président de la République du Vénézuela.
Lee Kuan Yew, premier ministre de Singapour.
1989
Daniel Arap Moi, président de la République du Kenya.
Franz Vranitzky, chancelier d'Autriche.
Virgilio Barco, président de la République de Colombie.
Princesse Chulabhorn, princesse de Thaïlande.
Julio Maria Sanguinetti, président de la République d'Uruguay.
Princesse Anne d'Angleterre.
Ingvar Carlsson, premier ministre suédois.
Cari XVI Gustav, roi de Suède.
Bengt Göransson, ministre suédois de l'Education et des Affaires culturelles.
François Mitterrand, président de la République française.
Jack Lang, ministre de la Culture.
Danielle Mitterrand, présidente de l'association France-Libertés.
Marcel Landowski, secrétaire peipétuel de l'Académie des Beaux-Arts.
René Huyghe, membre de l'Académie française.
Alain Poher, président du Sénat français.
Jean Fage, président du Musée de la photographie à Bièvres.
André Fage, directeur du Musée de la photographie à Bièvres.
Louis Auquier, président de l'Université Paris V.
Michel Maffesoli, professeur à l'Université Paris V.
Robert Berthier, président des Jeunesses musicales de France.
Bernard Dorin, ambassadeur de France au Japon.
Donald Chesworth, militant social britannique.
Chandra Wickramasinghe, professeur et astronome britannique.
Joseph Nye, professeur à l'Université Harvard.
Ying Ruocheng, vice-ministre de la Culture de Chine.
Bernard Lown, co-président du Comité international des physiciens contre la guerre nucléaire.
Mikhail Kuzin, co-président du Comité international des physiciens contre la guerre nucléaire.
John Neumeier, directeur du Ballet de Hambourg.
Fabio Roversi-Monaco, recteur de l'Université de Bologne.
Cornel Capa, directeur du Centre international de la photographie.
Javier Perez de Cueilar, secrétaire général des Nations unies.
Jean-Pierre Hocké, haut-commissaire du HCR.
Margaret Thatcher, premier ministre de Grande-Bretagne.
Li Peng, premier ministre de la République populaire de Chine.
Anatoly Loukyanov, président du Présidium suprême de l'URSS.
Julio Maria Sanguinetti, président de la République d'Uruguay.
Joseph Rotblat, président des Pugwash Conferences on Science and World Affairs.
Prince Tony Momoh, ministre nigérian de l'Information et de la Culture.
Virgilio Barco, président de la République de Colombie.
Jan Wirgin, directeur du Musée des antiquités asiatiques de Stockholm.
1990
Zhelyu Zhelev, président de la République de Bulgarie.
Mikhaïl Gorbatchev, président de l'URSS.
Danielle Mitterrand, présidente de France Libertés.
Georges Saitoti, vice-président du Kenya.
Nelson Mandela, président adjoint de l'African National Congress.
Rhi Chong Sun, directeur du musée d'art Ho-Am de Corée du Sud.
Nataliya Sats, fondatrice et présidente du Théâtre musical national des enfants de Moscou.
Daniel Arap Moi, président de la République du Kenya.
Turgut Ozal, président de la République de Turquie.
Kenneth Kaunda, président de Zambie.
John Montgomery, professeur émérite de l'Université Harvard.
René Simard, vice-recteur de l'Université de Montréal.
John Kenneth Galbraith, économiste et professeur d'économie politique à l'Université Harvard.
1991
Ingvar Carlsson, premier ministre suédois.
Neil Rudenstine, président de l'Université Harvard.
Elie Wiesel, prix Nobel de la paix.
Joseph Nye, professeur à l'Université Harvard.
René Simard, professeur à l'Université de Montréal, cancérologue.
Michel Maffesoli, professeur à l'Université Paris V.
Chandra Wickramasinghe, professeur et astronome britannique.
Marcel Landowski, chancelier de l'Institut de France.
Pierre Hugo, arrière-petit-fils de Victor Hugo.
Serge Tolstoï, petit-fils de Léon Tolstoi.
Ricardo Diez Hochleitner, président du Club de Rome.
Sir Fred Hoyle, professeur et astronome.
Genrikh A. Borovik, président du Comité soviétique pour la paix.
Carlos A. Faraco, recteur de l'Université de Panama.
Gennadi A. Yagodin, président du Comité national de l'URSS pour l'éducation.
James Njagi Njiru, ministre de la Culture du Kenya.
Jutta Unkart, Mmc la ministre de l'Education d'Autriche.
W. Henrichsmeyer, recteur de l'Université de Bonn.
Richard von Weizsâcker, président de la République fédérale allemande.
Wang Xuezhen, professeur à l'Université de Pékin.
Mikhaïl Gorbatchev, président de l'URSS.
Anatoly A. Louganov, recteur de l'Université de Moscou.
Charles K. Kao, professeur à l'Université de Hong-Kong.
Wang Gungwu, professeur à l'Université de Hong-Kong.
Corazon Aquino, présidente de la République des Philippines.
John Major, premier ministre britannique.
Virgilio Barco, président de la République de Colombie.
Rita Siissmuth, présidente de la Chambre des députés d'Allemagne.
Bhumibol Adulyadej, roi de Thaïlande.
Oswald Mtshali, poète anti-apartheid sud-africain.
Chingiz Aitmatov, écrivain et diplomate d'URSS.
Federico Mayor, directeur général de l'UNESCO.
Albert Carnesale, de l'École John F. Kennedy à Boston.
Lokesh Chandra, directeur de l'Académie internationale de culture indienne.
Hsueh Shou Sheng, recteur de l'Université de Macao.
Ricardo Popovsky, recteur de l'Université de Palermo en Argentine.
1992
Yehudi Menuhin, violoniste.
Ricardo Diez Hochleitner, présidentdu Club de Rome.
Shankar Dayat Sharma, vice-président de l'Inde.
Bans Manço, musicien turc.
Ramaswamy Venkataraman, président de la République de l'Inde.
Jiang Zemin, président de la République populaire de Chine.
Hosni Mubarak, président de la République arabe d'Egypte.
Vaclav Havel, président de la République tchèque et prix Nobel de la paix.
Suleyman Demirel, premier ministre de Turquie.
Frederic Willem de Klerk, président de la République sud-africaine.
Li Peng, premier ministre de la République populaire de Chine.
Aleksei Khoklov, professeur à l'Université de Moscou.
Glenn Paige, professeur émérite à l'Université de Hawaii.
Ihsan Dogramaci, fondateur de l'Université Bilkent d'Ankara.
Sonia Gandhi, femme politique et veuve de l'ancien premier ministre Rajiv Gandhi.
Suharto, président de l'Indonésie.
Majid Tehranian, professeur de l'Université de Hawaii.
Bhumibol Adulyadej, roi de Thaïlande.
Ralph Unkart, professeur émérite à l'Université des technologies de Vienne.
Francis Gichaga, vice-chancelier de l'Université de Nairobi.
Shao Huaze, éditeur chinois.
1993
Rosa Parks, militante des droits civiques américains.
Marvin Hier, fondateur et doyen du Centre SimonWiesenthal.
Noemi Sanin de Rubio, ministre des Affaires etrangeres de Colombie.
Noranit Setabutr, président de l'Université Thammasat de Thaïlande.
César Gaviria Trujillo, président de la République de Colombie.
Austregésilo de Athayde, président de l'Académie des Lettres du Brésil.
Amaral Vieira, pianiste et compositeur brésilien.
Carlos Menem, président de la République d'Argentine.
Francisco Delich, recteur de l'Université de Cordoba.
Mariano Mores, pianiste et compositeur argentin.
Osvaldo Pugliese, chef d'orchestre argentin.
Andrès Rodriguez, président du Paraguay.
Luis Berganza, recteur de l'Université nationale d'Asuncion au Paraguay.
Patricio Aylwin, président de la République du Chili.
Luis Fleury Fiiho, gouverneur de l'État de Sao Paulo.
Linus Pauling, lauréat du prix Nobel de chimie et du prix Nobel de la paix.
Franck Jordan, maire de San Franscisco.
Carlos Mario de Clerc, recteur de l'Université Lomas de Zamora en Argentine.
Nambaryn Enkhbayar, ministre de la Culture de Mongolie.
Lu Jimin, directeur du Musée de Pékin.
Vasant Sathe, président du Concile indien pour les relations culturelles.
N. Radhakrishnan, directeur de Gandhi Smriti et Darshan Samiti.
Lawrence Sullivan, directeur du Centre d'étude des religions à l'Université Harvard.
John Humphrey, professeur émérite de l'Université Mac Giil, à Montréal.
Jerry Rawlings, président de la République du Ghana.
Alfredo Cristiani Burkard, président de la République du Salvador.
Boutros Boutros-Ghali, secrétaire général des Nations unies.
Azian Shah, roi de Malaisie.
Roberto Baggio, footballeur italien.
Mikhaïl Gorbatchev, ancien président de l'URSS.
Princesse Napoléon.
Alexis Vaesken, ministre des Affaires étrangères du Paraguay.
Gunal Akbay, recteur de l'Université d'Ankara.
Fidel Ramos, président de la République des Philippines.
José Abueva, président de l'Université des Philippines.
John Kenneth Galbraith, économiste et professeur d'économie politique à l'Université Harvard.
Nur Yalman, titulaire d'une chaire d'anthropologie à l'Université Harvard.
John Montgomery, professeur émérite à l'Université Harvard.
Robert Jastrow, scientifique de la NASA, collaborateur du programme Apollo.
Chang Lin Tien, chancelier de l'Université de Californie.
David Strangway, président de l'Université britannique de Colombie.
René Simard, recteur de l'Université de Montréal
.
Chandra Wickramasinghe, professeur et astronome britannique.
Nelson Maculan Filho, recteur de l'Université de Rio de Janeiro.
1994
Bhumibol Adulyadej, roi de Thaïlande.
Cai Delin, président de l'Université de Shenzhen.
Li Youwei, maire de la ville de Shenzhen.
Farouk Hosni, ministre égyptien de la Culture.
Vincent Harding, professeur des religions à l'Université de Denver.
Forbes Munro, recteur de l'Université de Glasgow.
Franco Nannotti, vice-gouverneur de la province de Florence.
Fabio Roversi Monaco, recteur de l'Université de Bologne.
Roberto Baggio, footballeur italien.
Viktor Sadovnichy, recteur de l'Université d'État de Moscou.
Mikhail Gorbatchev, ancien président de l'URSS.
Aleksandr Yakovlev, président du Leonardo Club.
Gavril Popov, président de l'Université internationale de Moscou.
Gennadi Yagodin, recteur de l'Université internationale de Moscou.
Chingiz Aitmatov, écrivain kirghize.
Lou Ann Guanson, directrice du Spark M. Matsunaga de l'Institut pour la paix de l'Université de Hawaii.
Sonia Gandhi, femme politique et veuve de l'ancien premier ministre Rajiv Gandhi.
César Gaviria Trujillo, président de la République de Colombie.
Patricio Aylwin, ancien président du Chili.
Abraham Cooper, doyen adjoint du Centre SimonWiesenthal.
Lin Zugeng, président de l'Université Xiamen.
Shunzo Ono, musicien de jazz japonais.
Herbie Hancock, musicien de jazz américain.
Rosa Parks, militante du mouvement des droits civiques américains.
Jules Brassner, homme d'affaires américain.
Oscar Arias Sanchez, ancien président du Costa Rica, prix Nobel de la paix.
Edouardo Frei Ruiz Tagle, président de la République du Chili.
Lech Walesa, président de la République de Pologne.
Youssef Boutros-Ghali, ministre égyptien de la Coopération internationale.
Sisto Duran-Ballen, président de la République d'Equateur.
Ivaylo Znepolski, ministre de la Culture de Bulgarie.
Boutros Boutros-Ghali, secrétaire général des Nations unies.
Ricardo Diez-Hochleitner, président du Club de Rome.
Christina Weiss, directrice de l'Office culturel de la Ligue des villes hanséatiques à Hambourg.
John Neumeier, directeur artistique du Ballet de Hambourg.
Jack Stark, président du Claremont Mc Kenna College de Californie.
Michel Oksenberg, directeur du centre Est-Ouest de Honolulu.
Roger Posadas, chancelier de l'Université des Philippines.
Cai Delin, président de l'Université Shenzhen.
Jen Hu Chang, professeur à l'Université de culture chinoise de Taiwan.
Tsai Mci Lin, présidente de l'Université de culture chinoise de Taiwan.
Kedar Mathema, vice-chancelier de l'Université Tribhuvan du Népal.
Amos Ganor, ambassadeur d'Israël au Japon.
Guy Bourgeault, professeur de bioéthique à l'Université de Montréal.
Ved Nanda, professeur à l'Université de Denver.
Richard Dubanoski, professeur de psychologie à l'Université de Hawaii.
Anthony Marsella, professeur de psychologie à l'Université de Hawaii.
Francisco Delich, recteur de l'Université nationale de Cordoba en Argentine.
Gonzalo Ruiz Martinez, recteur de l'Université Del Valle de Bolivie.
Wang Xiaoxian, vice-présidente de l'Association du peuple chinois pour l'amitié avec les pays étrangers.
Huang Shiming, vice-président de l'Association de l'amitié sino-japonaise.
1995
Nelson Mandela, président de l'Afrique du Sud.
Kocheril Raman Narayan, vice-président de l'Inde.
Carlos Alberto Messeder, directeur du Centre de philosophie et de sciences humaines de l'Université de Rio de Janeiro.
Adolfo Perez Esquivel, militant argentin.
Robert Thurman, professeur au département des religions de l'Université de Colombie.
Jin Yong, écrivain chinois.
Wang Gungwu, vice-recteur de l'Université de Hong-Kong.
Oscar Arias Sanchez, ancien président du Costa Rica.
Jorge Range!, secrétaire de l'Education et de la Jeunesse de Macao.
Birenda Bir Bikram Shah Dey, roi du Népal.
Govindra Raj Joshi, ministre de l'Education nationale du Népal.
Sher Bahadur, premier ministre du Népal.
Hassan Gouled Aptidon, président de la République de Djibouti.
Luiz Marques, directeur du Musée national de Sao Paulo.
Youssef Boutros-Ghali, ministre de la Coopération internationale d'Egypte.
Aleksander Yakolev, un des artisans de la perestroika en URSS.
Albert Likhanov, écrivain russe.
Su Dongtian, professeur de l'Université de Shenzhen en Chine.
Amaral Vieira, pianiste et compositeur brésilien.
Bans Manço, artiste turc.
1996
Boutros Boutros-Ghali, secrétaire général des Nations unies.
Fidel Castro, président du Conseil d'État de la République de Cuba.
Armando Hart Davalos, ministre de la Culture de Cuba.
Juan Vela Valdes, recteur de l'Université de la Havane.
José Maria Figueres Olsen, président de la République du Costa Rica.
Ved Nanda, professeur de l'Université de Denver.
Henry Kissinger, ancien secrétaire d'État des États-Unis.
Moshe Arad, président de l'Université Hébraïque de Jérusalem.
Ricardo Diez Hochleitner, président du Club de Rome.
Sonia Gandhi, femme politique et veuve de l'ancien premier ministre indien Rajiv Gandhi.
Johan Galtung, chercheur en études sur la paix.
Yuri Petrosyan, directeur de l'Institut des études orientales de l'Académie des sciences de Russie.
Shanmughasundaram Mohan, de la Cour de justice suprême de l'Inde.
Marvin Hier, fondateur et doyen du Centre Simon Wiesenthal de Los Angeles.
Abraham Cooper, doyen adjoint du Centre SimonWiesenthal.
Manuel Esquivel, premier ministre du Belize.
Amos Richmond, professeur de l'Université Ben Gourion de Tel Aviv.
Yasushi Akashi, Sous-secrétaire général des Nations unies pour les affaires humanitaires.
Batmunkh Ligden, président de la Fédération de Mongolie.
Wang Xunzhang, président de l'Université de Zhongshan en Chine.
René Simard, recteur de l'Université de Montréal.
Jules Brassner, homme d'affaires américain.
1997
Qian Weichang, recteur de l'Université de Shanghai.
Chen Liangyu, député-maire de Shanghai.
Fang Zhaoling, artiste peintre de Chine populaire basée à Hong-Kong.
Amadeu Thiago de Mello, poète brésilien.
Louis Derbré, sculpteur français.
Cinto Vitier, fondateur et président du Centre de recherches José Marti.
Jerry Rawlings, président de la République du Ghana.
Choue Young Seek, fondateur de l'Université Kyung Hee de Corée.
Mikhaïl Gorbatchev, ancien président de l'URSS.
Fernando Nery de Sa, député brésilien.
Liu Cheng, secrétaire général de l'Institut de littérature de Mongolie.
Ved Prakash Nanda, professeur de droit à l'Université de Denver aux Etats-Unis.
Sitaram Sharma, secrétaire général adjoint de la World Federation of United Nations Associations.
Hashim Abdul Halim, président de la WFUNA.
Kochenl Raman Narayanan, président de l'Union indienne.
Krishna Kunt, vice-président indien.
Kumar Gujral, premier ministre de l'Inde.
Sonia Gandhi, femme politique et veuve de l'ancien premier ministre Rajiv Gandhi.
Amalendu De, secrétaire général de la Société asiatique (mémorial de Rabindranath Tagore).
Ravinder Kumar, directeur du mémorial Nehru.
Dr N. Radhakrishnan, directeur du Gandhi Smriti et Darshan Samiti.
Li Peng, premier ministre de la République populaire de Chine.
Liu Zhongshu, président de l'Université du Jiling en Chine.
Zhang Fuliang, vice-président de l'Université du Jiling.
Bryan Wilson, professeur à l'Université d'Oxford.
Cai Delin, ancien président de l'Université de Shenzhen, en Chine.
Félix Unger, président de l'Académie des sciences et des arts européens.
Chang Jenhu, président du conseil d'Université de la culture chinoise de Taiwan.
Lin Tsaimei, président de l'Université de la culture chinoise de Taiwan.
J. Forbes Munro, professeur d'histoire économique à l'Université de Glasgow.
Martin Seligman, professeur de psychologie de l'Université de Pennsylvanie.
Amaral Vieira, pianiste et compositeur brésilien.
Jules Brassner, homme d'affaires américain.
Jong Taeck Chung, président du collège Chong Cheong de Corée.
Li Decheng, maire adjoint de Shenzhen.
José Abueva, président de l'Université des Philippines.
1998
Juan Carlos, roi d'Espagne.
César Gaviria Trujillo, secrétaire général de l'Organisation des Etats Américains et ancien président de la Colombie.
Fidel V. Ramos, président de la République des Philippines.
Virsely de la Cruz, présidente de l'Université de Manille.
Fang Zaoling, peintre chinoise.
Jin Yong, écrivain chinois.
Jorge Rangel, secrétaire d'État à l'éducation et à la jeunesse de Macao.
René Simard, recteur de l'Université de Montréal.
Jiang Zemin, président de la République populaire de Chine.
Boutros Boutros-Ghali, ancien secrétaire général de l'ONU.
Hu Jintao, vice-président de la République populaire de Chine.
Benjamin William Mkapa, président de la Tanzanie.
Alberto Antonio Kohan, secrétaire général de l'Office présidentiel d'Argentine.
Mikhail Nikolayev, président de la République du Sakha de la Fédération de Russie.
Thabo Mbeki, vice-président exécutif d'Afrique du Sud.
Inder Kumar Gujral, ancien premier ministre de l'Inde.
Chingiz Aitmatov, écrivain kirghize.
Choue Young Seek, chancelier de l'Université Kyung Hee de Corée.
Jong Taeck Chung, président du Collège Chung Cheong de Corée.
Cho Moon Boo, président de l'Université nationale Cheju.
Yu Byeong Don, gouverneur de la province de Puyo en Corée.
Chung Jong Teh, gouverneur de la province de Kyongsang en Corée.
Hou Zixin, président de l'Université Nankai à Tianjin en Chine.
Piao Wenyi, président de l'Université de Yanbian en Chine.
Vrajendra Raji Mehta, vice-chancelier de l'Université de Delhi.
Antonio Celso Alves Pereira, recteur de l'Université de Rio de Janeiro.
Arun Gandhi, directeur de l'Institut M.K. Gandhi pour la non-violence.
Lokesh Chandra, directeur de l'Académie internationale de culture indienne.
Hazel Henderson, futurologue et économiste.
Andrew Gonzalez, président de l'Université De la Salle aux Philippines.
Wang Gungwu, directeur de l'Institut d'Asie orientale à Singapour.
David Krieger, président de la Nuclear Age Peace Foundation.
Mario Armando Mena, recteur de l'Université de Moron d'Argentine.
Manuel Pantigoso Pecero, de l'Association des docteurs du Pérou.
Ivan Rodriguez Chavez, recteur de l'Université RicardoPalma.
Fang Jie, viceprésident de la Fondation de l'Art chinois.
Viktor Sadovnichy, recteur de l'Université d'Etat de Moscou.
Anatoly Logunov, directeur de l'Institut de physiques de haute énergie de Russie.
Antonio Laffranchi, recteur de l'Université de Panama.
Eusebio Leal, directeur du Musée de la Havane.
Roberto Kertesz, président de l'Université Florès d'Argentine.
Pan Yunhe, président de l'Université Zhejiang.
Qian Weichang, chancelier de l'Université de Shanghai.
Gonzalo Ruiz Martinez, recteur de l'Université Del Valle de Bolivie.
Abu Bakar, vice-chancelier de l'Université de Brunei Darussalam.
Ramiro Eduardo Osorio, ancien ministre de la Culture de Colombie.
Francis Tolentino, maire de la ville de Tagaytay aux Philippines.
Natsagiin Bagabandi, président de la République de Mongolie.
N. Radhakrishnan, directeur de Gandhi Smriti et Darshan Samiti.
1999
Raja Nazrin Shah, roi de Malaisie.
Andrés Pastrana Arango, président de la République de Colombie.
Olusegun Obasanjo, président désigné du Nigeria.
Amara Essy, ministre des Affaires étrangères de Côte d'Ivoire.
Joseph Estrada, président de la République des Philippines.
Vasili Vlasov, premier ministre de la République de Sakha.
Viktor Sadovnichy, recteur de l'Université de Moscou.
Gennadi Yagodin, recteur de l'Université internationale de Moscou.
Lee Soo Sung, ancien premier ministre de Corée du Sud.
Hashim Abdul Halim, président de la WFLTNA.
Marquise du Lau d'Allemans, descendante de Napoléon Bonaparte.
Allen Lee Sessoms, de PUniversité de la ville de New York.
Jules Brassner, directeur de la Napoleonic Society of America et
directeur honoraire du Musée Fuji de Tokyo.
Abel Prieto, ministre de la Culture de Cuba.
Hector A. Navarro Diaz, ministre de l'Education du Vénézuela.
Cho Moon Boo, président de PUniversité nationale de Cheju en de Corée du Sud.
Choue Young Seek, chancelier de l'Université Kyung Hee de Corée du Sud.
Lee Won Sik, maire de la ville de Kyongju en Corée du Sud.
Kim Sang Soon, gouverneur de la province de Chongdo en Corée du Sud.
Zhou Ligao, recteur de l'Université de Macao.
He Jicheng, président de l'Université Nord-Est dc la Chine.
Majid Tehranian, directeur de l'Institut Toda de Recherches sur la paix et la politique mondiales.
Stuart Rees, directeur du Centre pour la paix et les conflits de l'Université de Sydney.
Casimiro Juarez, président du Cagayan Capitol College des Philippines.
Lin Liyun, interprète durant la rencontre entre le premier ministre chinois Zhou Enlai et Daisaku Ikeda, députée chinoise et ancien membre du comité permanent du Congrès national populaire de Chine.
Jiang Shusheng, président de l'Université de Nankin.
Cassio Taniguchi, maire de la ville de Curitiba du Brésil.
José Antonio de Chazal Palomo, recteur de l'Université de Santa Cruz en Bolivie.
Quansheng Zhao, professeur à l'École des relations internationales de l'American University de Washington.
Luo Weizhi, vice-président de l'Université de Hunan.
John Montgomery, professeur émérite de l'Université Harvard.
Lester Thurow, économiste et professeur à l'Institut de technologie du Massachusetts.
José Abueva, ancien président de l'Université des Philippines.
Forbes Munro, professeur à l'Université de Glasgow.
David Tay, président de Société de photographie de Singapour.
Wang Yongxiang, directeur du Centre de recherches Zhou Enlai de l'Université de Nankai.
Arthur K.C. Li, vice-chancelier de l'Université chinoise de Hong-Kong.
Roberto Baggio, footballeur italien.
Herbie Hancock, pianiste de jazz américain.
Norberto Ramos, danseur de tango argentin.
2000
Huang Jianhua, président de l'Université des études étrangères du Guangdong.
Mme Fang Zaoling, peintre chinoise.
Arthur K.C. Li, vice-chancelier de l'Université chinoise de Hong-Kong.
Joseph Rotblat, président émérite des Conférences Pugwash et lauréat du Prix Nobel de la paix.
Emmanuel Yap Angeles, président de l'Université Angeles des Philippines.
Rogelio Quiambao, commandeur suprême de l'Ordre de José Rizal des Philippines.
Ha Jingxiong, président de l'Université des nationalités de Pékin.
Ludmila Verbitskaya, recteur de l'Université de Saint Pétersbourg.
Le Lam, maire de la ville de Auburn en Australie.
Emesto Melendez Bachs, ambassadeur de Cuba au Japon.
David P. Roselle, président de l'Université de Delaware.
Daniel F. Callahan, professeur de l'Université de Delaware.
Shi Ningzhong, président de l'Université nationale du Nord-est de Chine.
Fidel V. Ramos, ancien président des Philippines.
Kim Sam Youl, président de l'Association des familles des personnes méritoires décédées pour l'indépendance nationale de la Corée du Sud.
Herbie Hancock, pianiste de jazz américain.
Wayne Shorter, musicien de jazz américain.
Tsend-Ayush, recteur de l'Institut de Littérature de Mongolie.
M.B.G Dogon-Yaro, ancien ambassadeur nigérien au Japon.
Zhu Weihua, président de l'Université de Yunnan (Chine).
Chen Fuqiang, vice-président de l'Université de Yunnan (Chine).
Arun Gandhi, fondateur de l'Institut M. K. Gandhi pour la non-violence.
Lawrence Edward Carter Sr., doyen de la Chapelle internationale Martin Luther King, Jr. du Morehouse College (Etats-Unis).
George David Miller, professeur de l'Université Lewis des États-Unis.
Edmund Ho Hau Wah, directeur de la Région administrative spéciale de Macao.
Hans Denningsen, ancien proviseur du Lycée Askov pour le peuple du Danemark.
Henning Dochweiler, proviseur du Lycée Askov pour le peuple du Danemark.
Majid Tehranian, directeur de l'Institut Toda pour la recherche sur la paix et la politique mondiales.
Ronald. R. Duterte, président de l'Université des Philippines du Sud.
Richard H. Seager, professeur adjoint des études religieuses, Hamilton College (Etats-Unis).
Anand Panyarachun, ancien premier ministre de Thaïlande.
Hazel Henderson, futurologue et économiste américaine.
Fang Zhaoling, peintre chinoise basée à Hong Kong.
Anson Chan, première secrétaire pour l'administration de Hong-Kong.
Victor H. Kazanjian, Jr., doyen de la vie religieuse et spirituelle, Wellesley College des États-Unis.
Youri A. Petrosyan, vice-président du Centre scientifique de Saint-Pétersbourg de l'Académie russe des sciences.
Pornchai Mongkhonvanit, président de l'Université de Siam, Thaïlande.
Viktor Sadovnichy, recteur de l'Université d'État de Moscou.
Felix Unger, président de l'Académie européenne des sciences et des arts.
S.R. Nathan, président de Singapour.
Leonie Kramer, chancelier de l'Université de Sydney, Australie.
Tun Haji Hamdan bin Sheikh, chancelier de l'Université de Putra, Malaisie.
Mahathir Mohamad, premier ministre de Malaisie.
2001
Nambaryn Enkhbayar, premier ministre de Mongolie.
Rudoiphus Lubbers, Haut Commisaire des Nations-unies pour les réfugiés.
Abraham Cooper, rabbin et doyen adjoint du Centre Simon Wiesenthal.
Alfred Balitzer, de Claremont McKenna College des États-Unis.
Richard H. Seager, professeur adjoint de Hamilton College, Etats-Unis.
Sun Yong, président de l'Université de Nord-ouest, Chine.
Mercedes Menafra de Battie, première dame d'Uruguay.
Bernard Petit, président du Souvenir napoléonien.
Ronald A. Bosco, président de la Thoreau Society des États-Unis.
Olusegun Obasanjo, président nigérian.
Aftab Seth, ambassadeur de l'Inde au Japon.
Larry A. Hickman, directeur du Centre pour les études sur Dewey à l'Université de l'Illinois du Sud, États-Unis.
Yitzhak Lior, ambassadeur d'Israèl au Japon.
Chen Jian, ambassadeur de Chine au Japon.
Felix Unger, président de l'Académie européene des sciences et des arts.
Chen Haosu, président de l'Association des peuples chinois pour l'amitié avec les pays étrangers.
Wu Ruijun, secrétaire général de l'Association d'amitié sino-japonaise.
Luigi Lonfernini, capitaine régent de la République de Saint-Marin.
Fabio Berardi, capitaine régent de la République de Saint-Marin.
Jutta Unkart Seifert, présidente de l'Iniative culturelle européenne pour la jeune génération de l'Autriche.
Thabo Mbeki, président de l'Afrique du Sud.
Linus Pauling Jr., professeur et fils du lauréat des deux prix Nobel en chimie et de la paix.
Auteur : zeste de savoir
Date : 02 avr.18, 07:13
Message : Yvon qui nous fait une copy colique !
Il a toujours été plus à l'aise pour être pris en photo dans les fauteuils du pouvoir que proche des théâtres de conflits ou là ou les gens souffrent.
Mais lui c'est un bodhisattva du sutra du lotus donc supérieur aux autres, qu'il soit milliardaire n'est pas un problème !

Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 07:14
Message : Grosse jalouse !

Auteur : zeste de savoir
Date : 02 avr.18, 07:21
Message : Il finit la tête brisée en 7 morceaux, suis pas jaloux !
Yvon a écrit :
Au cours des années 1970, Daisaku Ikeda mène une série de rencontres et dialogues avec des personnalités politiques et des experts dans différents domaines. Plusieurs de ces rencontres donnent lieu à la publication de livres de dialogues, abordant les enjeux de notre époque sous différents angles, en particulier l'angle religieux. Le premier de ces entretiens a lieu en 1972 avec l’historien britannique Arnold Joseph Toynbee, suivi en 1974 par celui avec l'écrivain André Malraux, puis avec l’historien d’art et membre du Collège de France et académicien français, René Huyghe9.
Polly Toynbee la petite fille de A. Toynbee (historien anglais) raconte à la BBC un voyage en Allemagne : " Jai eu cette impression de puissance se dégageant de lui, cest très inquiétant. P
uis le jour suivant nous sommes allés avec lui à une réunion dans un grand stade style réunion de Nuremberg, chaque séquence était organisée pour le louer et ce quil semblait apprécier cétait ce sentiment de puissance ".
Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 07:46
Message : Les impressions ne sont pas des certitudes .
Dans les années 70 Daisaku Ikeda fut le seul à avoir reconstruit des liens entre le Japon et la Chine . Celle ci ayant coupé toutes relations avec le Japôn suite aux atrocités commises par les militaires japonais durant la WWII
Daisaku Ikeda et Zhou Enlai en 1974 .
http://www.sino-us.com/12/China-Japan-r ... Ikeda.html[/quote]
Auteur : zeste de savoir
Date : 02 avr.18, 07:53
Message :
Puis le jour suivant nous sommes allés avec lui à une réunion dans un grand stade style réunion de Nuremberg, chaque séquence était organisée pour le louer et ce quil semblait apprécier cétait ce sentiment de puissance ".

Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 07:57
Message : 
Auteur : zeste de savoir
Date : 02 avr.18, 07:57
Message : Yvon a écrit :Les impressions ne sont pas des certitudes .
Dans les années 70 Daisaku Ikeda fut le seul à avoir reconstruit des liens entre le Japon et la Chine .
Ou avez vous qu'il ait reconstruit quoique ce soit, juste quelques photos supplémentaires pour le press book entre champagne et les petits fours !

Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 07:59
Message : Les impressions ne sont pas des certitudes
Le dialogue ça se fait avec tous les chefs d'états , chaque être humain à l'état de bouddha . La paix mondiale ca concerne la planete entière .

Nelson Mandela
Zou Enlai
Et bien d'autres .....
15/11/2009 Invitation de M. Obama pour Daisaku Ikeda
Samedi 14 novembre a eu lieu au Suntory hall de Tokyo un important discours de politique étrangère de M. Obama. Les différents thèmes de politique dans la région du pacifique ont été abordés , y compris "l'engagement pour un monde sans armement nucleaires". Plusieurs personnalités japonaises ont été invités à ce discours, y compris Daisaku Ikeda, philosophe et intellectuel japonais qui, ne pouvant pas s'y rendre a envoyé un représentant.
http://graziellarobino.blogs.courrierin ... ikeda.html
Daisaku Ikeda est un intellectuel, philosophe et personnage religieux japonais. Troisième président de l’association bouddhiste Sōka Gakkai entre 1960 et 1979, il est, depuis 1975, le président de la Sōka Gakkai Internationale (SGI), qui regroupe les associations Soka de différents pays.
Ayant œuvré dans des domaines aussi variés que la philosophie, la fiction, la critique, les essais, la poésie, la photographie ou encore la théologie du bouddhisme de Nichiren, il est professeur et docteur honoraire de plusieurs universités et membre honoraire du Club de Rome.
1983 Médaille de la paix par L'ONU .
À partir des années 1970, en pleine guerre froide, Daisaku Ikeda entreprend des rencontres avec des personnalités universitaires, culturelles et politiques lors de voyages de diplomatie citoyenne afin de promouvoir le dialogue et contribuer à l'apaisement des tensions internationales. Le 8 septembre 1968, il lance un appel pour la normalisation des relations sino-japonaises lors d'un discours à Tokyo devant 20 000 étudiants. En 1974, il rencontre le Premier ministre russe Alexis Kossyguine à Moscou. La même année, il se rend en Chine et rencontre le Premier ministre Zhou Enlai.
Basé sur l'esprit ouvert du bouddhisme, Daisaku Ikeda s'est engagé dans une série de dialogues avec de nombreuses personnalités dans divers domaines (lettres, arts, politique, santé, etc). Ces échanges de cœur à cœur ont pour but de trouver des réponses aux défis de notre époque et de faire avancer la construction d'un XXIe siècle tourné vers la paix.
Parmi ces rencontres :
Arnold Toynbee, historien britannique
Aurelio Peccei, co-fondateur du Club de Rome
Zhou Enlai, premier secrétaire du gouvernement chinois
Le prince Sianouk, président de la république du Kampuchea
Vaclav Havel, ex-président de la Tchécoslovaquie
Mikhail Gorbatchev, alors président de l'URSS
Nelson Mandela, président de la république sud-africaine et prix Nobel de la paix
Linus Pauling, prix Nobel de chimie et prix Nobel de la paix
Elie Wiesel, écrivain et prix Nobel de la paix
Rosa Parks, « mère » du mouvement des droits civiques américains
Corazon Aquin, présidente de la république des Philipines
Rajiv Gandhi, Premier ministre de l'Inde
Pour la France :
René Huygue, historien d'art français
Alain Poher, président du Sénat
Jacques Chirac, en 1987, alors maire de Paris
François Mitterrand, en 1989, Président de la République française
En tant que président de la Soka Gakkai et, plus tard, de la SGI, il établit plusieurs instituts éducatifs, religieux, culturels et de recherche :
l’Institut de philosophie orientale en 1962,
l’Association des concerts Min-On en 1963,
l’Université Soka de Hachioji, dans la banlieue de Tokyo en 1971
l'Université Soka d'Amérique à Orange County (États-Unis) en 2001,
le musée d’art Fuji de Tokyo en 1983,
la Maison littéraire de Victor Hugo à Bièvres en 1991,
l’Institut Toda de recherche sur la paix en 1996,
le Centre de recherches écologiques d’Amazonie près de Manaus (Brésil)
le Centre de recherche de Boston pour le xxie siècle en 1993 (rebaptisé en 2009, Centre Ikeda pour la paix, l’enseignement et le dialogue)
Daisaku Ikeda a donné des conférences dans une trentaine d’universités et instituts. Le 27 mai 1975, il donne une conférence à l'université d'État de Moscou et reçoit son premier doctorat honoraire. En 1983, il reçoit la médaille de la paix des Nations unies. À ce jour, en 2012, il a reçu plus de 300 titres honorifiques de nombreuses institutions universitaires ou académiques du monde entier.
En France, il a prononcé un discours en 1989 à l’Académie des Beaux-Arts de l’Institut de France, à Paris. Il a reçu en 1990 le prix de « la paix et l'humanité » des Éditions du Rocher. En 1992, il a été nommé Chevalier dans l'Ordre des Arts et Lettres de la République française, reconnaissance destinée à récompenser les personnes qui se sont distinguées par leurs créations dans le domaine artistique ou littéraire. Dans le discours de remise, M. Brunet, chef de Cabinet, a souligné la contribution de Daisaku Ikeda aux échanges culturels entre les deux pays, la France et le Japon. En mars 2005 il a reçu la médaille de la Chambre de commerce de Paris pour ses contributions dans le domaine des échanges internationaux d'étudiants entre l'Université Soka et l'école d'Advancia.
En 2010, il reçoit un 300e prix académique : l'Université du Massachusetts à Boston le fait docteur honoris causa ès Lettres
Auteur : algol-x
Date : 02 avr.18, 08:00
Message : "Le General Manuel Noriega reçu des fonds d'Ikeda et de la Soka Gakkai pour le financement de ses opérations de trafic de drogue.
La révélation fut faite récemment que le Président de la SGI Daisaku Ikeda procura des fonds au General Manuel Noriega pour son trafic de cocaïne. Ensuite, on apprit que le politicien Japonais et membre du Parti des Nouvelles Frontières (Shinshinto), Ichiro Ozawa, reçu des sommes d'argent importantes d'Ikeda, de ses placements sous forme de drogue auprès du Général Noriega.
Le Prof. Yoshihiro Tsurumi du City Collège de New York, directeur de l'Institut de Recherche Économique du Pacifique, dans son livre récemment publie et intitule: Une méthode non conventionnelle pour tuer l’Amérique (Titre Japonais: Amerika-goroshi no Cho-hasso), pages 206 et suivantes, révèle que Daisaku Ikeda, Ichiro Ozawa et le Général Manuel Noriega étaient lies ensemble dans le trafic de cocaïne de ce dernier
La preuve de cela vient du témoignage du Gen. Noriega en personne, qui attesta que Daisaku Ikeda alimenta Noriega avec des fonds de la Soka Gakkai pour son utilisation dans ses activités de drogue au Panama. Le Genéral Noriega attesta aussi que Daisaku Ikeda payait régulièrement a Ichiro Ozawa d’énormes sommes d'argent tirées des profits engrangés a travers le trafic de drogue de Noriega grâce a l'argent de la Soka Gakkai."
Source: "Une Méthode Non Conventionnelle pour Tuer l’Amérique", page 206 et suivant l'auteur: Yoshihiro Tsurumi Publie par: Tokuma Shoten, Date de Publication: Octobre 1994.
Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 08:43
Message : algol-x a écrit :"Le General Manuel Noriega reçu des fonds d'Ikeda et de la Soka Gakkai pour le financement de ses opérations de trafic de drogue.
Qu'estce que je disais , on a pas encore finit de raconter des connerie sur la SG et son président . C'est quoi la suite ? Auteur : algol-x
Date : 02 avr.18, 09:09
Message : Comment ! Gakkai ne l'a pas attaqué en justice ! comment se fait-il ?

Auteur : zeste de savoir
Date : 02 avr.18, 09:18
Message : Tss, tss, je suis sur qu' un procès est en cours !

Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 09:29
Message :
Daisaku Ikeda a donné des conférences dans une trentaine d’universités et instituts. Le 27 mai 1975, il donne une conférence à l'université d'État de Moscou et reçoit son premier doctorat honoraire. En 1983, il reçoit la médaille de la paix des Nations unies. À ce jour, en 2012, il a reçu plus de 300 titres honorifiques de nombreuses institutions universitaires ou académiques du monde entier.
En France, il a prononcé un discours en 1989 à l’Académie des Beaux-Arts de l’Institut de France, à Paris. Il a reçu en 1990 le prix de « la paix et l'humanité » des Éditions du Rocher. En 1992, il a été nommé Chevalier dans l'Ordre des Arts et Lettres de la République française, reconnaissance destinée à récompenser les personnes qui se sont distinguées par leurs créations dans le domaine artistique ou littéraire. Dans le discours de remise, M. Brunet, chef de Cabinet, a souligné la contribution de Daisaku Ikeda aux échanges culturels entre les deux pays, la France et le Japon. En mars 2005 il a reçu la médaille de la Chambre de commerce de Paris pour ses contributions dans le domaine des échanges internationaux d'étudiants entre l'Université Soka et l'école d'Advancia.
En 2010, il reçoit un 300e prix académique : l'Université du Massachusetts à Boston le fait docteur honoris causa ès Lettres
Auteur : algol-x
Date : 02 avr.18, 09:57
Message : Le 26 janvier 2012, le président honoraire de la Soka Gakkai Japon, Daisaku Ikeda, a interpelé les autorités du pays à abandonner l'énergie nucléaire : "A l'aune de l'accident de la centrale atomique de Fukushima, j'appelle le Japon à étudier rapidement des politiques énergétiques qui ne dépendent pas de l'énergie nucléaire."
C'est une revirement historique ! C'est la première fois qu'il s'exprime ainsi sur ce sujet depuis ces 50 dernières années. S'il a été un militant constant du désarmement nucléaire mondial, avec entre autre sa participation en 1998, par l'entremise du département de la jeunesse de la Soka Gakkai Japon, à "Abolition 2000" de la Nuclear Age Peace Foundation, il n'est jamais apparu comme un activiste prépondérant dans l'histoire de l'opposition à l'électricité nucléaire au Japon. Dans l'histoire sociale contemporaine japonaise, en 1954, ce sont les femmes des marins - de l'équipage du chalutier Daigo Fukury Maru (Le Dragon Chanceux) - irradiés par le tir de la bombe atomique du programme d'essais américain Castle Bravo au large de l'atool Bikini près des îles Marshall - accompagnées par des mouvements progressistes comme le parti communiste, des chrétiens, des bouddhistes du Nipponzan Myohoji (école de Nichiren) qui ont débuté les premiers mouvements sociaux anti-nucléaire militaire. Il semble qu'à l'époque certains pratiquants de la Soka Gakkai des villages avoisinants ce soient spontanément associés à la lutte de ces femmes.
De 1999 jusqu'à Fukushima le Komeito en fidèle allié du PLD a soutenu la nucléarisation civile du Japon. Ses électeurs sont essentiellement les membres de la Soka Gakkai sans lesquels le PLD n'aurait pu gagner les élections et gouverner le pays. Les électeurs du Komeito suivent les directives morales de la Soka Gakkai – donc de D. Ikeda qui n'a jamais réellement soutenu les alternatives sociales, économiques, politiques, culturelles, quand bien même il a fait d'innombrables discours pouvant y faire penser. Si D. Ikeda s'est prononcé de façon anecdotique et marginale sur des questions environnementales et écologiques ou encore si la Soka Gakkai a participé localement à des initiatives alternatives pour le bien-être social, elle s'est toujours positionnée dans le camp des mentalités traditionnelles et des conservateurs, celui d'un gouvernement central autoritaire allié aux combinats de la stricte économie capitaliste, du commerce international conquérant, de l'industrie lourde, de l'agro-alimentaire destructeurs de l'environnement...
À preuve du contraire, D. Ikeda, ce brillant défenseur de la vie, amoureux de la nature, pacifiste, trois cent fois décoré par toutes sortes d'institutions internationales a été le complice de la nucléarisation du Japon par son silence sur la question des dangers du nucléaire civil - malgré l'activisme anti-nucléaire, les déclarations alarmistes de spécialistes japonnais, les accidents nucléaires dans l'archipel comme dans le monde, les rapports des commissions d'enquêtes sur la sécurité nucléaire au Japon - ainsi que par ses alliances politiques et sa fonction d'ambassadeur culturel soutenu par le ministère japonnais des Affaires Étrangères lors de ses voyages internationaux, ainsi que par ses relations amicales avec le président de Mitsubichi, la banque qui gère les actifs de la Soka Gakkai mais qui est aussi le groupe industriel ayant participé à la construction du parc nucléaire (Mitsubichi Heavy Industries) et principal constructeur d'armement du pays.
D. Ikeda, fondateur d'une ONG humanitaire, ce promoteur d'une philosophie humaniste bouddhique, de la paix dans le monde, des droits de l'homme comme de ceux des enfants, et en tant que personnalité de premier plan de la société civile, a démontré sa responsabilité accablante dans le développement du programme nucléaire, aidé en cela par ses instruments : la Soka Gakkai et le Komeito, en restant en retrait des mouvements alternatifs anti-nucléaire civil minoritaires mais très actifs dès les années 1970, en consentant de facto à l'orientation économique et industrielle qui fut à l'origine de la construction des centrales nucléaires japonaises à partir de 1966 (Tsuruga 1) dont la visée ultime a été historiquement la fabrication de bombes atomiques. D. Ikeda dans ses actions militantes avec la Soka Gakkai contre les Armes Nucléaire en a complètement dissocié le Nucléaire Civil, ses discours pour la paix et le désarmement sont d'habiles forfanteries camouflant sa collusion occulte, contradictoire à l'idéal bouddhiste, avec les intérêts des pouvoirs politiques financiers industriels les plus opposés à la vie, à la paix, à l'harmonie entre les humains et la nature !
Une anecdote pour exemple.
Depuis 2003 Shingo Mimura (sans étiquette) a été élu et réélu gouverneur d'Aomori, avec l'aide infaillible du PLD et de ses partenaires : le Komeito et le Nouveau Parti Conservateur, là où se trouve le site nucléaire de Rokkaso-mura conçu par Mitsubichi pour pouvoir produire la matière première des armes nucléaires. Il a apporté son soutien à l'énergie nucléaire qui est devenue l'un des principaux secteurs économique et pourvoyeurs d'emploi de la préfecture. Depuis, soutenu en cela par ses alliés politiques, après une vérification de la sécurité des centrales existantes dans un contexte marqué par l 'accident de Fukushima, S. Mimura a été le seul à militer pour continuer la politique de développement de l'industrie nucléaire civile dans la préfecture.
En France l'actuelle Association Cultuelle Soka du Bouddhisme de Nichiren et avant elle la Soka Gakkai Française et encore avant la Nichiren Shoshu Française se sont toujours fait les relais de l'idéologie pacifiste de D. Ikeda sans jamais lui être déloyal ni désobéissant en quelques points que ce soit. Ce dévouement sans faille à empêché depuis toujours l'ensemble de leurs hauts dirigeants officiels de développer une intelligence critique propre à produire un discours innovant adapté aux réalités sociétales concrètes, et les a obligé à refuser d'émettre publiquement une pensée philosophique originale sur les problématiques et enjeux du monde, ce qui fait d'eux, jusqu'au 26 janvier 2012, les complices inconscients du désastre nucléaire japonais et international.
P.S : Conformément à la liberté d'expression accordée aux citoyens par la Constitution de la république française, ce texte est le fruit d'une analyse et d'une interprétation personnelle de documents disponibles en langue françaises, émanant de la Soka Gakkai et de chercheurs externes à cette organisation. S'il s'avérait qu'il existait des publications officielles en langue françaises de cette organisation prouvant son implication effective et récurrente dans le mouvement anti-nucléaire civile au Japon dès les débuts , nous apprécierions de les savoir publiés sur internet et de connaître l'adresse de ces sites.
Le 14-10-2013 à 19:31:05
Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 10:24
Message : Et alors ?
Précision :
Comme tout citoyen au sein d’un système démocratique, les pratiquants du bouddhisme de
Nichiren reconnaissent pleinement le rôle légitime des autorités publiques et s’évertuent à promouvoir le
bien commun, l’intérêt général au sein de la société.
M. Aruga, politologue japonais, précise à cet égard que : « La croissance du nombre de
pratiquants (du culte du bouddhisme de Nichiren) au Japon a suscité une augmentation analogue de leur
capacité à exercer, en qualité de citoyens, une influence sociale et politique, en raison de leur nombre »,
à savoir, près de 12 millions de pratiquants1
.
Les pratiquants du culte du bouddhisme de Nichiren, s’exprimant comme tout un chacun selon les
voies et les garanties démocratiques, participent de la sorte à la vie politique et civile des pays
démocratiques où ils résident.
Si certains pratiquants sont appelés, en qualité de citoyens, à remplir des mandats politiques, c’est
à titre strictement personnel au terme d’une décision libre et individuelle. Par ailleurs,
la Soka Gakkai
Internationale, association japonaise dont le siège est fixé à Tokyo, a toujours précisé que les associations
du mouvement hors du Japon « ne s’impliqueront dans aucune activité politique quelle qu’elle soit ».
En France, ni le mouvement religieux ni ses dirigeants, indépendants et apolitiques,
n’appellent à voter pour un parti politique, ni à prendre position pour tel ou tel élu. Aucune
formation politique en France n’est le fait du mouvement religieux, ni en est son émanation.
Chacun reste libre de ses choix politiques même lorsque des pratiquants exercent des mandats ou
des fonctions politiques ou sociales ; et si au sein de la démocratie japonaise, le parti politique
« Komeito » est composé de certains pratiquants de la Soka Gakkai, cela ne diffère en rien de la
situation en France où certains partis politiques d’inspiration démocrate chrétienne rassemblent des
chrétiens. Le mouvement s’interdit en outre de faire usage d’outils politiques pour propager ses
croyances bouddhistes et n’est en aucun cas financé par la Soka Gakkai, dont il est indépendant sur
le plan juridique et financier.
Par ailleurs, au Japon, est prohibé le cumul de responsabilités au sein de la Soka Gakkai et du
Komeito, qualifié improprement de « parti bouddhiste ». Mr Aruga compare la situation du Komeito au
Japon, à l’Union Démocratique Chrétienne dite CDU en Allemagne2
. Karel Dobbelaere, sociologue des
religions, évoque à titre comparatif la situation en Belgique du Parti Populaire Chrétien
Dans les 192 pays où est implanté la Sokka Gakkai , il n'y a aucune implication politique de celle ci .

Auteur : algol-x
Date : 02 avr.18, 14:37
Message : Si vous regardez sur le web, vous pouvez trouver de nombreux exemples où Ikeda décrit la confrontation entre Toda, les apprentis tyrans de la division jeunesse, et le prêtre âgé, Jimon Ogasawara avec "la bave à la bouche" et "hurlant comme un chien enragé". Je pense que cela doit avoir une source japonaise, parce qu'on ne peu trouver que des citations qui semblent toutes provenir de la même source telle qu'elle soit.
Eh bien, j'ai décidé de voir si ces détails scandaleux étaient inclus dans le roman d'Ikeda, "The Human Revolution". J'ai été très surprise de voir que le volume 3, qui est la traduction en anglais des livres 5 et 6, traite presque exclusivement de l'incident d'Ogasawara. Ce n'était pas une affaire unique ou mineure -
Ikeda consacre DEUX LIVRES ENTIER à ce sujet! Ceci indique que cet incident était une crise sérieuse.
Mais nulle autre part que dans sa «novelization» ou le prêtre est appelé Kasawara, n'est décrit comme ayant « la bave à la bouche» ou « hurlant comme un chien enragé».
Ikeda change certains détails - au lieu des voyous de la division de la jeunesse dépouillant un vieil homme de ses sous-vêtements et le portant presque nu sur leurs épaules par une nuit froide en hurlant et en utilisant un mégaphone pour l'humilier dans un cimetière, le forçant à signer une confession rédigée par la Soka Gakkai et à s'excuser auprès de la tombe de Makiguchi, Ikeda décrit le vieil homme démissionnant volontairement, sur sa propre initiative.
Les autorités ont finalement semblé prendre les choses en main et de sauver le pauvre vieil homme des voyous de la Soka Gakkai, mais le mal était fait. Dans leur zèle à humilier publiquement un vieil homme sans défense, le Gakkai a montré au public ses vraies couleurs. Ils n'auraient pas dû s'attendre à quelque chose de positif, du point de vue de l'opinion publique, mais Toda était tellement obsédé par la vengeance qu'il ne pouvait penser qu'à ça !
Quelques "éclaircissements": des poursuites ont été intentées contre la Soka Gakkai et cet incident a été la cause de beaucoup de dégoût et de méfiance des Japonais vis à vis de la Soka Gakkai.
Ikeda omet également le détail dans les propos de Murata: que Toda a reconnu avoir frappé le vieux prêtre «deux fois». Ikeda dit, cependant, que le vieil homme "soudainement et délibérément à frappé Toda dans le tibia." Il affirme que le "noble" Toda "plein de compassion" interdit aux voyous de Gakkai de "sauter" sur lui, alors que Toda s'en va, abandonnant délibérément le vieux prêtre à un groupe de 47 voyous, Ikéda dit que le prêtre a essayé de frapper à nouveau Toda.
Notez que l'organisation de cette attaque contre un prêtre âgé et sans défense a été l'une des premières tâches auxquelles Toda s'est attelé lorsqu'il a accédé au poste de président de la Soka Gakkai. Cela en dit beaucoup !
https://www.reddit.com/r/sgiwhistleblow ... ogasawara/ Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 14:58
Message : Ogasawara moine de la Nichiren Shoshu responsable de l'emprisonnement de Makiguchi , j'en parlerai en temps voulu dans :
http://www.forum-religion.org/mahayana/ ... 59645.html
Sinon :
Daisaku Ikeda est un intellectuel et philosophe japonais, pacifiste, antimilitariste. Il est président honoraire de la Sōka Gakkai, et président de la Sōka Gakkai Internationale.
Philosophe, romancier, critique, essayiste, poète, photographe, professeur et docteur honoraire de plusieurs universités, il est membre honoraire du Club de Rome.
Le Club de Rome est une association internationale et non politique réunissant des scientifiques, des humanistes, des économistes, des professeurs, des fonctionnaires nationaux et internationaux ainsi que des industriels de 53 pays, préoccupés des problèmes complexes auxquels doivent faire face toutes les sociétés, tant industrialisées qu'en développement.
Fondé le 8 avril 1968 à l'initiative d'Aurelio Peccei, un Italien membre du conseil d'administration de Fiat, et d'Alexander King, un scientifique et fonctionnaire écossais, ancien directeur scientifique de l'Organisation de coopération et de développement économiques, il doit son nom au lieu de sa première réunion à Rome, à l'Accademia dei Lincei.
Le rapport Meadows (1972), commandé par le Club de Rome, avait pour titre français Halte à la croissance ? et fut suivi en 1974 d'un deuxième rapport : Sortir de l'ère du gaspillage : demain. Depuis, il a produit plus de 20 publications dans une série appelée Rapports du Club de Rome.
Les notions de développement durable et d'empreinte écologique font du Club de Rome un précurseur. Si, au XXIe siècle, la majorité s'accorde à prendre en compte les problématiques environnementales, d'autres n'acceptent pas ces analyses qui impliquent beaucoup de remises en question. Ils s'en prennent parfois au Club de Rome, à l'origine de ce qu'ils pensent être du catastrophisme.
Le club de Rome déménagera son siège de Hambourg à Zurich comme annoncé en 2007[1]. La population du canton de Zurich a refusé en février 2008 (par référendum) la subvention escomptée[2], mais des fonds privés se sont portés au secours du groupe
Auteur : algol-x
Date : 02 avr.18, 15:42
Message : Yvon a écrit :"Le club de Rome déménagera son siège de Hambourg à Zurich comme annoncé en 2007. La population du canton de Zurich a refusé en février 2008 (par référendum) la subvention escomptée, mais des fonds privés se sont portés au secours du groupe"
« Le Club de Rome est sans conteste un groupe de pression transnational qui cherche à influencer l’opinion publique mondiale et, à travers elle, les gouvernements en place afin de réaliser certains objectifs politiques. Aurelio Peccei le reconnaît d’ailleurs lui-même lorsqu’il assigne à ce groupement un double-objectif qui est : « de comprendre et de faire comprendre en profondeur à quel point les affaires humaines sont dans une situation critique, combien les perspectives d’avenir sont de plus en plus limitées et incertaines, et de créer ainsi, avec une opinion mondiale et des centres de décision plus réceptifs, un climat plus propice à l’action ; de dégager et de proposer de nouvelles lignes d’action et de nouveaux modèles d’organisation pour orienter plus intelligemment le sort de l’humanité. » […] Le Club de Rome ne serait-il pas ainsi la préfiguration d’une nouvelle élite, celle des gestionnaires, souples et efficaces, prétendant penser en termes globaux et organiser rationnellement l’interdépendance mondiale ? On a beau nous parler de nouvel humanisme, de révolution de solidarité mondiale, cette prétention à déterminer rationnellement le bien de l’ensemble de l’humanité et à gérer efficacement la future société mondiale ne peut qu’inquiéter ceux qui sentent ce que peut cacher un tel discours et qui savent où peut conduire la projection au monde entier d’une rationalité technocratique, close sur elle-même. »
https://explicithistoire.wordpress.com/ ... b-de-rome/ Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 16:12
Message : La théorie du complot , ca marche toujours avec les esprits faibles comme le votre . La preuve .
Auteur : algol-x
Date : 02 avr.18, 16:15
Message : Yvon a écrit :La théorie du complot , ca marche toujours avec les esprits faibles comme le votre . La preuve .
Je vous retourne le propos !

Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 16:22
Message : La bienveillance du président Ikeda .
« Daisaku commenca cependant à remarquer une tendance qui l’inquiétait profondément : tandis que l’organisation grandissait et s’implantait solidement à travers tout le pays , certains responsables locaux devenaient de plus en plus autoritaires et formalistes .
C’est par le dialogue que la SG avait étendu son influence , les liens de cœur à cœur , tissés entre ses membres trouvant un écho plus large dans la société .
Le fonctionnement de la SG était donc à l’opposé d’un système autoritaire où le sommet donne des ordres à la base . Son grand développement n’était dû qu’aux efforts sincères de dialogue et d’encouragements prodigués auprés des simples membres .
Cependant , en y regardant de plus prés , quelques responsables à l’échelon national avaient l’illusion de leur propre grandeur . Plutôt que de rechercher l’avis des membres , ils se contentaient de décider de tout arbitrairement , croyant à tord , que les gens obéitraient au doigt et à l’œil à leur ordres.
La personne doit écouter les opinions des autres et promouvoir des activités qui emportent l’adhésion et la compréhension de tous .
Certains de ces responsables autoritaires entretenaient même des relations de types féodal avec leur membres , ne donnant des postes de responsabilité dans leur organisation locale qu’à ceux qui les flattaient et les admiraient . Parfois ils employaient même ces membres serviles à faire leur corvées ménagères ou à s’occuper d’autres affaires personnelles à leur place .
En fin de compte de tels responsables n’essayaient pas de relier les membres au courant de la SG , mais à eux même.
Il ne s’agit là que d’une exploitation de la croyance et de l’organisation. En outre certains responsables ne s’interressaient qu’aux résultats à l’exclusion de tout le reste . Sans rechercher la cohésion ni donner des encouragements attentif aux membres .
Le comportement de tels responsables cause des préjudices incalculables : il sème la méfiance vis-à-vis de la SG dans le cœur des gens .
Dans chacun de ces cas , le responsable oubliait de servir les membres succombant à la vanité et recherchant aveuglément la reconnaissance personnelle , témoignant par là d’une arrogance et d’un égoisme effrayant .
C’est parrceque les responsables les protègent et les soutiennent que les membres les respectent . La corruption des responsables commence lorsqu’ils confondent le respect dû à leur fonction avec un respect dû à leur propre personne . »
Histoire de la Soka gakkai la Nouvelle révolution humaine Volume 2
Auteur : algol-x
Date : 02 avr.18, 16:33
Message : Yvon a écrit :"La bienveillance du président Ikeda"
Vos affirmations permettent d'appréhender les effets du conditionnement Gakkai ! plein d'interventions sur cette discussion contredisent vos dires ! il suffit de les lire, pas vraiment l’impression que vous le fassiez, cela n'est pas grave, je ne cherche pas à vous convaincre.

Auteur : Yvon
Date : 02 avr.18, 19:28
Message : Durant mes 34 ans de pratique j'ai moi même rencontré des personnes se montrant autoritaires et dogmatiques .
Heureusement je fut pas troublé par cette attitude .
L' avantage d'avoir étudié c'est que je me rendis compte rapidement que ce comportement était en désaccord avec l'enseignement de Nichiren et des discours du président Ikeda et je ne me suis pas gèné de faire des remarques à ces personnes.
Finalement ces gens finirent tous par quitter l'organisation
Auteur : Ichinen29
Date : 02 avr.18, 20:31
Message : Idem!
Auteur : Shonin
Date : 02 avr.18, 23:58
Message : Phrase d'Or :
"Ne vous diminuez pas en vous comparant aux personnes de capacités supérieures. La véritable intention du Bouddha ne fut jamais de dénier à quiconque la possibilité d’atteindre l’illumination, même aux personnes de moindres capacités. A l’inverse, en vous comparant à des personnes dont les capacités sont inférieures aux vôtres, ne soyez ni arrogant ni exagérément fier. Même des personnes de capacités supérieures peuvent ne pas atteindre l’illumination si elles ne se consacrent pas de tout cœur à sa recherche. "
Nichiren, Questions et réponses sur la pratique du Sûtra du Lotus - Lettres et Traités vol.5
Bonne journée.
Auteur : zeste de savoir
Date : 03 avr.18, 02:47
Message : Daisaku Ikeda et le dialogue inter religieux !
Dont l'image est reproduite sur tous les sites, blogs, publications des adeptes les plus convaincus de la soka gakkai.
Dont les équipes de lobbying vantent les hautes qualités d'humanisme aux politiques et décideurs internationaux.
Dans un discours prononcé alors qu'il démarrait dans la foi. Nous éclaire ainsi sur sa détermination inflexible à répandre le vrai bouddhisme sur la planète

:
Conformément à l'esprit du premier Président, Tsunesaburo Makiguchi, et du deuxième Président, notre maître Josei Toda, qui se sont loyalement dévoués pour le temple principal, moi, représentant tous les membres de notre organisation, je promets une plus grande loyauté encore à Son Excellence (Nikken). La Soka Gakkai est le plus grand allié des masses. Nos ennemis sont les mauvaises religions. Ce sont elles qui conduisent les hommes en enfer. Le Vrai Bouddhisme fait surgir le bouddha de tous les êtres. Nichiren Daishonin a dit que la source de tous les malheurs et de toutes les souffrances est la croyance erronée. Notre maître, Josei Toda, a repris ces paroles importantes. Avec l'esprit de notre maître prônant la destruction des mauvaises religions, nous, ses disciples devons, une fois encore, leur livrer un combat sans merci." (Murata, p. 118-119) Auteur : algol-x
Date : 03 avr.18, 02:58
Message : Soka Gakkai utilise des célébrités pour sa «révolution secrète»
Japan Today / 23 mars 2005
Les émissions de variétés télévisées semblent parfois être un défilé sans fin de «talents», mais ce que la plupart des téléspectateurs ne réalisent probablement pas, c'est que l'organisation religieuse Soka Gakkai est impliquée dans l'industrie du divertissement.
Beaucoup de talents sont utilisés dans le cadre d'une stratégie du président de la Soka Gakkai, Daisaku Ikeda. Par exemple, des talents populaires tels que Masami Hisamoto, qui a classé dans le groupe supérieur de la recherche «talent favori» NHK pour trois années de suite, l'actrice Satomi Ishihara, qui joue une héroïne dans le drame basé sur le roman historique "Yoshitsune, "Les comédiens Hidekazu Nagai et Hanawa sont membres de la Soka Gakkai. Ils appartiennent au département des arts du quartier général de la culture Soka Gakkai.
Dans l'ancien temps, des célébrités comme l'actrice Tamaki Sawa, les chanteuses Izumi Yukimura et Linda Yamamoto se produisaient lors des grandes réunions de la Soka Gakkai, attirant entre 1 000 et 2 000 personnes. Cependant, les temps ont changé. La télévision est un moyen bien meilleur pour atteindre beaucoup plus de gens.
"Tant que ces célébrités sont présentes à la télévision tous les jours, la Soka Gakkai n'a plus besoin d'organiser de grands rassemblements", explique Hiroshi Kotani, ancien secrétaire en chef de la Soka Gakkai, qui quitte l'organisation en 1987. "Soka Gakkai et en faisant cela, ils brisent l'image négative que certaines personnes ont de la Soka Gakkai. "
La prédominance de la comédie rehausse l'image de Soka Gakkai. "Plus encore qu'un chanteur ou une actrice de classe A, les comédiens amis ont un effet plus fort", explique le journaliste Masao Otsukotsu. "Soka Gakkai a nommé Masami Hisamoto en tant que directeur adjoint de son département des arts en 2001. Cela montre combien ils attendent de lui."
Récemment, les médias contrôlés par Soka Gakkai utilisent également des célébrités extérieures. Cela fait également partie de leur stratégie, indique une source au sein du groupe. "Les managers des jeunes talents d'aujourd'hui ne connaissent pas l'âge sombre de la Soka Gakkai, aussi longtemps leurs besoins financiers sont couverts , ils n'ont aucun problème avec leurs talents apparaissant dans les médias de la Soka Gakkai, dans ses magazines . C'est est un autre moyen pour l'organisation d'améliorer son image. "
D'autre part, un certain nombre de célébrités ont quitté le groupe, parmi eux Cha Kato, Akira Hirao et Kaoru Sugita. Craignant des représailles, ils ne parlent pas beaucoup de la Soka Gakkai, mais refusent de paraître dans les médias ou les publications de la Soka Gakkai.
Otsukotsu a déclaré: «Ce que nous voyons, c'est que plus de jeunes adhèrent au mouvement, plus de croyants vétérans s'en vont, Soka Gakkai aimerait mener une « révolution ». Il aimerait prendre en charge des fonctions importantes au gouvernement et contrôler la société. L'utilisation des talents pour son image de marque est juste une partie de leur stratégie.Je pense que les talents plus âgés et plus expérimentés réalisent cela et c'est pourquoi ils partent.
La Soka Gakkai n'utilise pas que le monde du divertissement. Les diplômés de l'Université Soka Gakkai ont trouvé leur place dans les ministères de la Justice, des Affaires étrangères et autres. Soka Gakkai a également une énorme connexion réseau avec les médias, l'industrie informatique et de nombreuses grandes entreprises.
Un porte-parole de la Soka Gakkai réfute les propos d'une révolution. "Nous ne commandons pas aux entreprises de faire quoi que ce soit."
Cependant, Kotani dit: "Soka Gakkai est un groupe qui ne peut tolérer des opinions et des pensées dissidentes et qui fera de son mieux pour éliminer la concurrence. Si leur révolution réussit réellement, la société perdra beaucoup de libertés. Je me demande combien de célébrités sont au courant. Si elles ne pensent qu'à leur popularité, leur pensée est plutôt superficielle.
https://www.culteducation.com/group/940 ... ution.html Auteur : Yvon
Date : 10 mai18, 00:57
Message : Ikeda va trés bien , il a transmit un texte en début d'année et a recu un prix à Paris en Avril
L'Harmattan décerne le Prix spécial du dialogue pour la paix à Daisaku Ikeda
Publié le vendredi 27 avril 2018 18:37
Samedi 21 avril, la maison d'édition L'Harmattan a décerné le Prix spécial du dialogue pour la paix à Daisaku Ikeda, en reconnaissance de son action inlassable en faveur de la paix.
Lors de la cérémonie, qui s'est tenue au Centre bouddhique Soka de France, à Paris, MM. Denis et Xavier Pryen, respectivement fondateur et directeur général des éditions L’Harmattan, ont remis le prix à M. Minoru Harada, président de la Soka Gakkai, qui l'a reçu au nom de M. Daisaku Ikeda.
Rappelant les valeurs de la SGI, telles qu'exprimées dans sa charte, M. Denis Pryen s'est dit heureux de soutenir cette organisation, dont les objectifs coïncident parfaitement avec ceux des éditions L'Harmattan :
Droits des peuples à disposer d’eux-mêmes
Droits humains
Au carrefour des cultures
Au service de la recherche pour la transformation sociale
Puis M. Denis Pryen a évoqué les liens créés avec Daisaku Ikeda, à travers la publication au fil des ans de seize de ses ouvrages, dont treize consacrés à des dialogues en faveur de la paix, des droits humains et de la préservation de l'environnement.
« Il nous semblait important de mettre en valeur son importante contribution au progrès de l’humanité. » expliqua-t'il, avant de conclure : « Les éditions L’Harmattan remettent, à des occasions particulières, des prix à certains auteurs ou acteurs engagés pour le bien commun. Nous sommes donc très honorés de lui décerner aujourd’hui ce Prix spécial du dialogue pour la paix, en reconnaissance de ses actions inlassables en faveur de la paix. »
La maison d'édition L’Harmattan a publié environ 35000 titres depuis sa création en 1975, notamment dans le domaine des sciences sociales. Elle édite aujourd’hui environ 2700 ouvrages chaque année.
Le directeur général de L’Harmattan, M. Xavier Pryen, a ensuite présenté la nouvelle publication d'un dialogue de M. Daisaku Ikeda avec l’ancien président de l’Indonésie, M. Abdurrahman Wahid, intitulé La Sagesse de la tolérance.
Enfin, M. Minoru Harada, président de la Soka Gakkai, a clôturé la cérémonie avec la lecture du message de remerciement de M. Daisaku Ikeda. Dans ce message, ce dernier exprime à MM. Denis et Xavier Pryen sa profonde reconnaissance, et fait l'éloge des éditions L'Harmattan pour leur contribution au développement de la connaissance, de la culture et de l’humanisme. Puis il évoque les similitudes qui existent entre l'esprit du bouddhisme Mahayana et les idéaux humaniste de la Révolution française :
« Je fais partie de ceux qui pensent que cet esprit du bouddhisme Mahayana rejoint celui de la Révolution française du XVIIIème siècle. Dans les deux cas, il s’agit de placer le respect de la dignité de la vie et des droits humains au-dessus de tout et de lutter pour que prévalent les nobles principes de “liberté, égalité, fraternitéˮ, fondements mêmes de la République française. »
Puis il conclut en citant Victor Hugo, qui déclara : « Les ouvrages qui nourrissent l’esprit humain forgent l’amitié » et s'engage à continuer de mener de nombreux « dialogues pour la paix » et à diffuser des messages d’espoir et de courage, à travers de nouvelles publications.

Auteur : zeste de savoir
Date : 10 mai18, 20:35
Message : 16 titres édités qui sont tous pré achetés par les membres et leurs familles, ça prouve surtout que l'harmattan gagne du fric et sait renvoyer l'ascenseur !
C'est uniquement de la communication, comme le soit disant message personnel de DI !
!

Auteur : Yvon
Date : 10 mai18, 20:49
Message : Vous êtes une mauvaise langue comme toujours , j'étais sûr que vous alliez écrire cela et ca me fais bien rire , les 16 publications du président Ikeda c'est une goutte d'eau dans les éditions Harmattan comme on peut le voir ci dessous .
La maison d'édition L’Harmattan a publié environ 35000 titres depuis sa création en 1975, notamment dans le domaine des sciences sociales. Elle édite aujourd’hui environ 2700 ouvrages chaque année.
Auteur : Ichinen29
Date : 10 mai18, 21:46
Message : La mauvaise foi élevé au rang d'un art,....sic!
Auteur : vic
Date : 11 mai18, 06:07
Message : On sait parfaitement en tapant soka gakkaï sur le net que tous les journaux connus français lui donnent mauvaises presse , tous . Trouvez moi ne serait ce qu'un journal connu français qui dit qu'IKeda est un homme de paix sauveur de l'humanité et qui ne parle pas de dérive sectaire concernant la sokka gakkaï et Ikeda .
L'entreprise de la soka gakkaï c'est d'essayer devant ça de faire des campagnes d'influence massive pour tenter d'influencer l'opinion publique sur leur mouvement .
La soka gakkaï est une nouvelle religion ultra richissime , comme l'est la scientologie . Avec de l'argent vous achetez tout ce que vous voulez , d'autant que les gens qui remettent ces médailles en plastique ne connaissent la plupart du temps pas du tout qui est Ikeda et ce qui se cache vraiment derrière la sokka gakkaï , puisque ce mouvement fait croire qu'il est bouddhiste et que le bouddhisme est un passeport rassurant dans l'opinion publique .
Donc des receptions de médailles bidons d'organismes inconnus et de maisons d'éditions inconnues je ne vois pas ce que ça prouve .
Les journalistes de journaux connus français sont des journalistes d'investigation sérieux qui savent de quoi ils parlent quand ils parlent d'ikeda et de la soka gakkaï . A contrario , ces gens qui remettent des médailles ne savent pas ce qui se cache derrière ce mouvement soka gakkaï et ikeda, ils ne savent pas qu'ils sont instrumentalisés . Vous savez , quand on voit que Bachar Al Assad a été élevé au rang de la légion d'honneur au grade le plus élevé , on voit ce qu'ont la valeur de ces médailles comme garantie pour discerner quoi que ce soit en matière d'honnêteté . C'est surtout du copinage .
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