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Auteur : komyo
Date : 05 août16, 20:28
Message : Figure marquante de l'inde, le moine philosophe nagajurna a influencé toutes les écoles du bouddhisme du grand véhicule, que l'on trouvera par la suite en Chine, au Japon et au Tibet.
Nagarjuna est un des grands philosophes et métaphysiciens du bouddhisme Mahāyāna et le fondateur de l'école Madhyamaka. Il est également compté parmi les quatre-vingt-quatre mahāsiddhas, les « grands accomplis » du bouddhisme tantrique tibétain. La tradition du bouddhisme Shingon, quant à elle, voit en lui son troisième patriarche - il aurait reçu directement l'enseignement ésotérique de Vajrasattva -, celle du Zen le considère comme son quatorzième patriarche et il serait aussi à l'origine, voire le fondateur, de l'école Tiantai en Chine. Sa pensée eut un impact majeur sur tout le Vajrayāna: toutes les branches du Bouddhisme tibétain se considèrent comme relevant du Madhyamaka. En particulier, l'œuvre de Nagarjuna telle qu'elle fut comprise et commentée par le maître indien Candrakîrti (viie siècle) puis par le maître tibétain Tsongkhapa (1357-1419), fondateur de la branche gelugpa du bouddhisme tibétain, eut un impact considérable sur la doctrine bouddhiste au Tibet surtout à partir de l'arrivée au pouvoir des gelugpa au xviie siècle. Selon la tradition tibétaine, c'est Nagarjuna qui transmit le Guhyagarbha tantra à Padmasambhava (le fondateur du bouddhisme tibétain) et Vimalamitra, un tantra fondamental de la première diffusion du Bouddhisme au Tibet.
Vacuité :
Toute la pensée logique de Nāgārjuna tend à prouver la vacuité d'existence propre (Śūnyatā) des phénomènes à partir de l'enseignement central du Bouddha de la production codépendante ou coproduction conditionnée (pratîtya samutpada).
En effet, Nāgārjuna déclare:
« C'est la Coproduction conditionnée que nous entendons sous le nom de vacuité. C'est là une désignation métaphorique, ce n'est rien d'autre que la voie du milieu [le Madhyamaka] . »
La vacuité s'oppose frontalement à la conception née de nos habitudes mentales qui suppose une existence réelle aux choses et qui s'exprime intellectuellement dans un concept clef de la métaphysique traditionnelle de l'Inde : svabhāva [être propre, existence propre] et que Nagarjuna bat en brèche dans ses textes philosophiques. Nagarjuna prouve en effet à longueur de ses écrits l'absurdité de ce concept d'existence propre qui se surajoute au réel. L'existence propre des phénomènes comme l'existence propre du « je » est illusoire, un mirage, un songe. Si sur le plan de la vérité absolue, Nagarjuna professe la vacuité, Śūnyatā, sur le plan de la vérité relative, il déclare que tous les phénomènes sont illusoires.
Pour autant, tout n'est-il qu'un vaste néant aux yeux de Nagarjuna ? Non, pas du tout ! Les choses sont vides, mais elles apparaissent en dépendance d'autres phénomènes, de la même manière que le rêve n'est bien sûr pas réel, mais pourtant s'est produit, troublant le dormeur de ses charmes et apparences. C'est pourquoi Nagarjuna prétend se situer au milieu entre l'extrême de l'existence et l'extrême de la non-existence ou néant.
Lorsqu'il dit que les phénomènes sont vides d'existence intrinsèque, Nāgārjuna dit précisément qu'« ils sont libres de permanence et de non-existence». En effet, il dit:
« Dire « il y a » c'est prendre les choses comme éternelles [c'est-à-dire qu'elles durent], dire « il n'y a pas pas » c'est ne voir que leur anéantissement [c'est-à-dire qu'elles n'existent pas].
sur la "réalité ultime"
Dans son œuvre le Catuhstava, Nagarjuna rend directement hommage à la Réalité ultime telle qu'elle ne peut être comprise que par cette sagesse transcendante. Le Catuhstava est, en effet, une suite de quatre hymnes en son honneur. Ces hymnes révèlent bien l'objectif ultime de Nagarjuna et pourquoi il ne fait que très rarement référence direct à cette « Réalité ultime » car elle est justement au-delà de toute formulation par la logique et le langage:
« 1. Comment Te louerais-je, Seigneur, Toi qui sans naissance, sans demeure, surpasses toute connaissance mondaine et dont le domaine échappe aux cheminements de la parole.
2. Pourtant, tel que Tu es, accessible au [seul] sens d'Ainséité [la Nature absolue], avec amour je [Te] louerai, ô Maître, en recourant aux conventions mondaines.
3. Puisque, par essence, Tu ne sais pas, en Toi, point de naissance, point d'allée ni de venue. Hommage à Toi, Seigneur, à Toi le Sans-nature-propre !
4. Tu n'es ni être ni non-être, ni permanent ni impermanent, ni éternel. Hommage à Toi, le Sans-dualité ! »
https://fr.wikipedia.org/wiki/N%C4%81g%C4%81rjuna Auteur : Yvon
Date : 05 août16, 21:41
Message : Nagarjuna (Ryuju, 龍樹, Longshu). Lettré bouddhiste de l'Inde du Sud qui vécut probablement entre 150 et 250. Le Fubozo Innen Den le compte comme le quatorzième des vingt-quatre successeurs de Shakyamuni. Né dans une famille brahmane, il étudia d'abord le bouddhisme du Theravada, mais se convertit plus tard au Mahayana. Selon le Ryuju Bosatsu Den (Vie du bodhisattva Nagarjuna, une traduction chinoise de Kumarajiva faite vers 405), il étudia l'enseignement mahayaniste sous la direction d'un vieux moine dans l'Himalaya et s'y convertit. Ensuite, il voyagea à travers l'Inde pour maîtriser tous les sutras du Mahayana. On lui attribue près de 200 ouvrages en sanscrit : commentaires de sutras mahayana ; traités polémiques, hymnes cultuels et poèmes, essais sur l'alchimie, la médecine, les métaux, etc. Cette diversité incite certains savants à supposer l'existence de plusieurs personnages que la littérature hagiographique a réunis en un seul "bodhisattva" ou même "bouddha" légendaire. On considère toutefois comme certain l'existence d'un Nagarjuna, auteur du Madhyamika-karika, ouvrage fondamental de la voie du milieu. Il systématise dans cet ouvrage la doctrine de sunyata (non-substantialité, vacuité) : sujet et objet n'ont pas de réalité en soi, ce que nous percevons est une interaction, liée elle-même à la production conditionnée. Il serait également l'auteur du Chu Ron, le Jujubibasha Ron et le Junimon Ron où il développe les concepts de prajna, vacuité (non-substantialité) et les paramita. Sa philosophie fut appelée la doctrine Madhyamika (Ecole du milieu). Comme sa doctrine fait partie intégrante du bouddhisme Mahayana, Nagarjuna est respecté comme le fondateur des huit écoles (Kusha, Jojitsu, Ritsu, Hosso, Sanron, Kegon, Tendai et Shingon). Dans ses dernières années, il vécut à Bhramaragiri sur le cours supérieur de la rivière Kistna. Il forma des disciples et transmit ses enseignements à Aryadeva. Le Shingon le considère comme le troisième patriarche de l'enseignement ésotérique, après le bouddha Vairocana et Kongosatta. Cette école ésotérique affirme qu'il transmit les enseignements exotériques à Aryadeva et les enseignements ésotériques à Nagabodhi, le quatrième patriarche du Shingon.
http://www.nichiren-etudes.net/dico/n.htm Auteur : komyo
Date : 11 août16, 21:08
Message : Une autre tradition (probablement plus mythologique) rapporte que Nāgārjuna serait allé dans le monde des Nāga, des divinités serpentiformes. De là proviendrait son nom : Nāga - arjuna, « celui qui subjugue les Nāga ». Il aurait été amené à demeurer dans ce monde car, alors qu'il prêchait la doctrine bouddhiste, son attention fut attirée par des êtres humains dont émanait une aura surnaturelle et un parfum suave, et qui étaient en fait des Nāga ayant pris l'apparence humaine pour pouvoir suivre son enseignement. Ayant été démasqués, ceux-ci l'invitèrent à venir dans leur monde où ils conservaient les prajnaparamita Sūtras. Mais le temps dans le monde de ces êtres s'écoule plus lentement que le temps dans le royaume des êtres humains. Après y avoir résidé quelque temps, il revint dans le monde des humains, mais près de 600 ans s'étaient écoulés depuis son départ. À son retour, il révéla aux humains tous les prajnaparamita Sūtras qui constituent la majeure partie de la deuxième roue du Dharma. Selon la tradition indo-tibétaine, le Bouddha donna ces enseignements au Pic des Vautours près de Rajagriha (actuellement Rajgir). Il ne donna les enseignements de la Prajnaparamita, qui établissent la doctrine de la Vacuité, qu'à ses disciples les plus intelligents. Ces enseignements, trop difficiles pour les gens de l’époque, devaient être conservés dans le monde des Nagas et transmis à Nāgārjuna.
L'essentiel de l'œuvre de Nagarjuna consista à présenter, expliquer et démontrer l'enseignement de la Vacuité contenu dans les prajnaparamita Sutras. Selon le Mahāyāna, le Bouddha aurait prophétisé la venue de Nagarjuna comme celui qui devait donner le sens véritable de ses enseignements.
Auteur : Yvon
Date : 05 nov.20, 05:06
Message : Le moine Nagajurna à déclaré :
"Le Sûtra du Lotus est comme un grand médecin qui peut changer le poison en remède"
Auteur : vic
Date : 08 nov.20, 22:11
Message : Yvon a écrit : 05 nov.20, 05:06
Le moine Nagajurna à déclaré :
"Le Sûtra du Lotus est comme un grand médecin qui peut changer le poison en remède"
 
Nagajurna n'a jamais enfermé ses élèves dans la seule lecture du soutra du lotus .
Aucun soutra bouddhique ne peut vraiment être compris seul, mais à lumière d'un ensemble .
Adorer un texte fanatiquement dans l'attachement , n'est rien d'autre que le fruit d'un aveuglement .
Bouddha n'a jamais enseigné l'attachement , que ce soit à lui même ou à ses paroles .
 Auteur : Yvon
Date : 09 nov.20, 01:37
Message : Le bodhisattva Nagarjuna dit  : "Fiez-vous aux traités qui sont fidèles au sutra  ; ne vous fiez pas aux traités qui déforment le sutra."La  signification de ce passage est que, parmi les divers sutras, il faut rejeter les enseignements provisoires énoncés avant le Sutra du Lotus, et accorder sa foi à ce Sutra. Ainsi, les sutras aussi bien que les traités rendent parfaitement clair qu'il faut rejeter tout sutra autre que le Sutra du Lotus.
Auteur : vic
Date : 10 nov.20, 00:14
Message : Yvon a écrit : 09 nov.20, 01:37
Le bodhisattva Nagarjuna dit  : "Fiez-vous aux traités qui sont fidèles au sutra  ; ne vous fiez pas aux traités qui déforment le sutra."La  signification de ce passage est que, parmi les divers sutras, il faut rejeter les enseignements provisoires énoncés avant le Sutra du Lotus, et accorder sa foi à ce Sutra. Ainsi, les sutras aussi bien que les traités rendent parfaitement clair qu'il faut rejeter tout sutra autre que le Sutra du Lotus.
 
Justement c'est le contraire de ce qu'enseignait nagajurna ce que vous dites, il n'a jamais durant sa vie cessé d'enseigner l'ensemble des soutras , et n'a jamais uniquement enseigné le soutra du lotus . 
Ne faites pas de Nagajurna un personnage dément  . 
Seul Nichiren, votre gourou  a interprété de façon névrosé les choses comme vous le dites .
Il faut savoir que Nichiren n'eu quasiment pas d'adeptes de son vivant , et que ce pseudo bouddhisme de Nichiren  a refait surface renaissant de ses cendres que longtemps après sa mort .
Nichiren avait un vision complètement hystérique et radicalisée du soutra du lotus . Il pensait que le soutra du lotus indiquait qu'il fallait abandonner tous les autres soutras pour n'enseigner et n'étudier uniquement que le soutra du lotus. 
Un certain nombre de maitres comme aussi Dogen , un des grand patriarches du zen vouaient une grande admiration au soutra du lotus , mais ils enseignaient aussi  d'autres soutras . 
Nichiren avait une interprétation personnelle du soutra du lotus hystérique , radicale, orientée  .
Il en est même à inventer un pratique avec la récitation d'un mantra en japonais que Bouddha n'aurait jamais pu édicter comme méthode puisque Bouddha n'a jamais parlé le japonais . 
Nichiren , ça n'est plus du bouddhisme , mais une méthode inventée , une interprétation hystérique du soutra du lotus etc ....
 Auteur : Yvon
Date : 10 nov.20, 00:32
Message : Erreur Nichiren eut 162 disciples laics 115 sont des hommes et 47 sont des femmes 
Dans la seule ville de Kamakura on recense en 1271 260 disciples 
Source : Nichiren et ses disciples Edition Les Indes Savantes page 85
Le bouddhisme de Nichiren à toujours existé depuis sa mort j'usqu'à aujourd'hui Voir 
La Nichiren Shoshu Histoire d'une déviation . 
Nam Myoho Renge Kyo n'est pas du japonais . Le bouddha ne parlait pas Pali non plus . 
En fait l'important c'est de savoir ce que renferme l'enseignement , et s'il apporte des bienfaits dans notre vie ou pas . 
Le bodhisattva Nagarjuna dit dans son Daichido Ron : "[Le Sutra du Lotus] est comme un grand médecin qui change le poison en élixir." Cette citation se trouve dans un passage du Daichido Ron qui commente les vertus inhérentes au caractère Myo du Sutra du Lotus. Le Grand-maître* Zhanlan* commente de la manière suivante : "Parce qu'il peut guérir ce que l'on croit incurable, on l'appelle mystique (myo)."
Auteur : vic
Date : 10 nov.20, 00:39
Message :  a écrit :Yvon a dit : Le bodhisattva Nagarjuna dit dans son Daichido Ron : "[Le Sutra du Lotus] est comme un grand médecin qui change le poison en élixir." Cette citation se trouve dans un passage du Daichido Ron qui commente les vertus inhérentes au caractère Myo du Sutra du Lotus. Le Grand-maître* Zhanlan* commente de la manière suivante : "Parce qu'il peut guérir ce que l'on croit incurable, on l'appelle mystique (myo)."
 
Et en quoi cela signifie t'il qu'il faille abandonner l'étude des autres soutras ? 
Vous voyez que vous instrumentalisez Nagajurna .
Nagajurna avait de l'admiration pour le soutra du lotus , mais a toujours enseigné d'autres soutras , tout comme Dogen . Nichiren était bien le seul  à inventer une interprétation hystérique du soutra du lotus .
D'autres part , ni Nagajurna , ni Bouddha , ne parlaient japonais et ne récitaient votre mantra en japonais de leur vivant .
Combien de fois il faudra vous expliquer que Nichiren faisait une interprétation hystérique du soutra du lotus qu'aucun grand maitre bouddhiste n'a partagé au cours de l'histoire . Nichiren est resté seul , isolé .
 Auteur : Yvon
Date : 10 nov.20, 00:44
Message : Nam Myoho Renge Kyo n'est pas du japonais . Le bouddha ne parlait pas Pali non plus . 
En fait l'important c'est de savoir ce que renferme l'enseignement , et s'il apporte des bienfaits dans notre vie ou pas .
Auteur : vic
Date : 10 nov.20, 00:45
Message : Yvon a écrit : 10 nov.20, 00:44
Nam Myoho Renge Kyo n'est pas du japonais . Le bouddha ne parlait pas Pali non plus . 
En fait l'important c'est de savoir ce que renferme l'enseignement , et s'il apporte des bienfaits dans notre vie ou pas .
 
Ben si , c'est du japonais , c 'est quoi sinon ?
Votre mantra en japonais n'a pas plus de vertu pour  renfermer un enseignement que n'importe quelle autre superstition imaginaire . Bouddha ne parlait pas japonais .
 Auteur : Yvon
Date : 10 nov.20, 00:45
Message : Yvon a écrit : 10 nov.20, 00:44
Nam Myoho Renge Kyo n'est pas du japonais . Le bouddha ne parlait pas Pali non plus . 
En fait l'important c'est de savoir ce que renferme l'enseignement , et s'il apporte des bienfaits dans notre vie ou pas .
 
En Inde, après la disparition du Bouddha, le bodhisattva Nagarjuna fut celui qui comprit véritablement le rapport entre le Sutra du Lotus et les autres sutras ; et la première personne à l'appréhender correctement en Chine fut le Grand-maître* sage Zhiyi*.
 Auteur : vic
Date : 10 nov.20, 00:48
Message : Ben c'est justement parce que Nagajurna avait bien compris ce soutra du lotus  qu'il n'a jamais abandonné l'enseignement des autres soutras à ses élèves . 
C'est toute la différence entre l'interprétation du soutra du lotus par  Nagajurna et celle hystérique de votre maitre à penser Nichiren , sorte de moine fou .
Auteur : Yvon
Date : 10 nov.20, 00:49
Message : Yvon a écrit : 10 nov.20, 00:45
En Inde, après la disparition du Bouddha, le bodhisattva Nagarjuna fut celui qui comprit véritablement le rapport entre le Sutra du Lotus et les autres sutras ; et la première personne à l'appréhender correctement en Chine fut le Grand-maître* sage Zhiyi*.
 
Le mot
 France inclus en lui même 65 millions d'individus , un pays, des régions , ses lois , sa langue , sa cuisine , sa diversité culturelle ect .... Rendre hommage à la France c'est intégré en soi même la globalité du pays et de ses caractéristiques . 
D'une vision superficielle 
Nam Myoho Rengué Kyo signifie " Je me consacre à la Loi merveilleuse du Sûtra du Lotus " .
mais ce n'est qu'une traduction du Mantra . Elle signifie dans un premier temps que le fait de réciter le titre du Sûtra du Lotus équivaut à réciter la totalité des 28 chapitres qu'il contient . 
Ce mantra est composé d'un mot Sanscrit "
Nam " et de 
Myoho Rengué Kyo " qui sont du vieux chinois . Un seul caractère a plusieurs significations . C'est pour cela que l'on ne peux le traduire en français cela en diminuerai considérablement le sens . 
Que désigne donc 
Myo ? C'est uniquement la nature mystérieuse de notre vie, d'instant en instant, que l'on ne peut saisir par la pensée ni exprimer par les mots. Si vous vous interrogez sur la nature de votre esprit à un moment donné, vous ne percevez ni couleur ni forme prouvant qu'il existe. Mais vous ne pouvez pas non plus dire qu'il n'existe pas, car diverses pensées ne cessent de se présenter à vous. La vie est une réalité difficile à saisir qui échappe aux mots et aux concepts d'existence comme de non-existence. Elle n'est ni existence, ni non-existence, et pourtant manifeste tantôt l'un de ces aspects, tantôt l'autre. C'est la réalité mystique de la Voie du milieu, réalité unique de toutes choses. On appelle Myo la nature mystérieuse de la vie et 
Ho ses manifestations.
Renge, la fleur de lotus, symbolise la nature mystique de ce Dharma. Lorsque vous réalisez que votre propre vie est le Dharma Merveilleux, vous réalisez que celle des autres l'est également. Cet Éveil s'exprime par 
Kyo, le Sutra merveilleux
• 
Nam : Nam est un mot dérivé de la translittération du mot sanskrit namas qui signifie « se consacrer à », « respecter du fond du coeur », et exprime une forte foi.
• 
Myôhô : Littéralement, Myôhô signifie « loi merveilleuse » et exprime la relation entre la vie de l’univers et ses nombreuses manifestations. Myô désigne l’essence même de la vie, invisible et au-delà de l’entendement intellectuel. Cette essence s’exprime elle-même sous une forme tangible (hô) qui, elle, peut être appréhendée par les sens. Les phénomènes (hô) changent, mais un principe unique et immuable les habite tous (myô).
•
 Renge : Renge (prononcé « rèngué ») signifie « fleur de lotus ». Parce qu’il produit en même temps sa fleur et son fruit, le lotus symbolise la simultanéité de la cause et de l’effet. 
La loi de cause et d’effet explique que chaque personne est directement responsable de sa propre destinée. Nous créons notre destinée et nous pouvons la changer. Réciter Nam-myoho-renge-kyo produit simultanément dans les profondeurs de notre vie l’effet de la bouddhéité, qui ne manquera pas de se manifester le temps venu. 
De plus, bien qu’elle pousse et s’épanouit dans des étangs boueux, la fleur de lotus demeure immaculée. Elle symbolise ainsi l’apparition de l'état de bouddha originel dans la vie en proie aux troubles d’une personne ordinaire.
• 
Kyô : Littéralement, Kyô veut dire « sûtra », « voix » ou « enseignement d’un bouddha ». Il désigne également le son, le rythme ou la vibration. Le caractère chinois pour kyo désignait à l’origine le fil d’un ouvrage tissé, la continuité temporelle, et représente ainsi le caractère éternel de Nam-myoho-renge-kyo. Au sens large, kyô véhicule le concept selon lequel tout, dans l’univers, est une manifestation de la Loi merveilleuse.
Myo signifie également la nature mystique de notre vie , c'est la vie .
Ho représente la mort .
Renge loi de causalité .
Kyo La cohérence du début jusqu'à la fin . 
D'un point de vue du corps humain :
Myo représente la tête 
Ho Le cou, La gorge , la bouche , le larynx
Rengé Le thorax , ventre , le sexe .
Kyo : Les Bras ,les mains, les jambes et les pieds .
 Auteur : vic
Date : 10 nov.20, 00:54
Message : Mais votre cuisine avec ce mantra japonais tout le monde s'en fout .
Le fait est que Nagajurna n'a jamais interprété qu'il ne fallait enseigner que le soutra du lotus et donc n'en avait pas du tout la même interprétation que votre gourou hystérique Nichiren .
Donc vous instrumentalisez Nagajurna pour lui faire dire des choses  contraires à ce qu'il pensait  .
De toute évidence , le Nichirénisme , c'est de la popote , plus du bouddhisme .
Nichiren  s'invente une lecture interprétative hystérique ultra orientée du soutra du lotus ,  invente un mantra en Japonais alors que bouddha n'a jamais parlé en japonais , et s'invente un truc qui s'appelle le Gohonzon , sorte de grifouilli sur une feuille que le croyant doit vénérer   etc ...
Auteur : Yvon
Date : 10 nov.20, 00:58
Message : Le Mantra " NAM MYOHO RENGE KYO " n'est pas japonais (voir plus haut) 
Au cours des plus de 2200 ans écoulés depuis la disparition du Bouddha, dans toute l'Inde, la Chine, le Japon et le monde entier [comme le Grand-maître* Zhiyi* l'a déclaré]  : "Vasubandhu et Nagarjuna avaient clairement perçu la vérité dans leur coeur, mais ils ne l'enseignèrent pas. A sa place, ils exposèrent les enseignements du Mahayana provisoire*, qui étaient adaptés à leur époque."
Auteur : vic
Date : 10 nov.20, 01:01
Message :  a écrit :Yvon a dit : Au cours des plus de 2200 ans écoulés depuis la disparition du Bouddha, dans toute l'Inde, la Chine, le Japon et le monde entier [comme le Grand-maître* Zhiyi* l'a déclaré] : "Vasubandhu et Nagarjuna avaient clairement perçu la vérité dans leur coeur, mais ils ne l'enseignèrent pas. A sa place, ils exposèrent les enseignements du Mahayana provisoire*, qui étaient adaptés à leur époque."
Vous me faites penser à un témoin de jéovah , vous délirez et vous vous inventer vos propres réponses imaginaires . Vos dires ne se placent qu'au coeur de votre imagination .
En fait inutile de discuter avec vous , vous n'allez que me débiter toutes vos superstitions en guise de réponse . C'est comme vouloir discuter avec un témoin de jéovah sur ses croyances, c'est tout aussi caduc .
Votre pseudo bouddhisme ne repose sur rien d'autre que de la superstition .
Quelle différence entre croire en votre secte ou croire en n'importe qu'elle autre superstition d'une autre religion ?  Aucune , toutes les croyances se valent . Les croyances sont toujours basées sur de l'auto hypnose , l'adoration d'un dieu , ou ici dans votre cas d'un texte que vous mettez au même rang qu'un dieu etc ...
Inutile d'essayer de démontrer quoi que ce soit en lien avec la raison , puisque ça n'a aucun rapport avec la raison .
 Auteur : Yvon
Date : 10 nov.20, 01:14
Message : Mais on s'en fout que bouddha ne parlait ni Pali , ni chinois ni autre chose . 
Il faut connaittre l'histoire du bouddhisme . Le bouddhisme parti d'Inde en Chine puis de Chine en Corée puis de Corée au Japon . 
Il est donc normal que des traducteurs comme kumarajiva transposent des Sûtras indiens en chinois .
Et le titre du Sutra du Lotus en chinois est Myoho Renge Kyo
Auteur : vic
Date : 10 nov.20, 01:16
Message : Yvon a écrit : 10 nov.20, 01:14
Mais on s'en fout que bouddha ne parlait ni Pali , ni chinois ni autre chose . 
Il faut connaittre l'histoire du bouddhisme . Le bouddhisme parti d'Inde en Chine puis de Chine en Corée puis de Corée au Japon . 
Il est donc normal que des traducteus comme kumarajiva transposent des Sûtras indiens en chinois .
 
Mais on s'en fout de vos croyances imaginaires . Vous manipulez l'histoire de Nagajurna en fonction de vos élucubrations sectaires .Et pour cela vous faites penser des morts sur ce qu'ils auraient pensé, tout en faisant fi de leur vie et de leur véritable histoire  .Nagajurna n'a jamais enseigné uniquement le soutra du lotus .
Pour moi vos croyances sont au même niveau que n'importe quelle croyance ou superstition, toutes les croyances se valent .Vous réduisez le Bouddhisme a du ridicule , à une sorte de religion adoratrice d'un texte , vouant une sorte d'adoration hystérique pour un livre .
Alors qu'a la base , le bouddhisme dans les textes anciens est philosophique et parle de détachement , de modération et du problème de l'excès du désir et de la passion .
 Auteur : Yvon
Date : 10 nov.20, 01:24
Message : Pardon mais je n'ai jamais dit que Nagajurna a enseigné uniquement le Sutra du Lotus . 
Encore une fois vous déformez mes propos .
Nagarjuna est connu principalement pour ses concepts de vacuité et de voie du milieu .
Auteur : vic
Date : 10 nov.20, 01:26
Message : Yvon a écrit : 10 nov.20, 01:24
Pardon mais je n'ai jamais dit que Nagajurna a enseigné uniquement le Sutra du Lotus . 
Encore une fois vous déformez mes propos .
Nagarjuna est connu principalement pour ses concepts de vacuité et de voie du milieu .
 
Donc vous voyez bien qu'il n'a rien à voir avec du Nichirénisme .
Merci d'éviter de faire de la récupération de Nagajurna pour faire valoir les thèses hystériques de Nichiren .
Nagarjurna était pour la voie du milieu ( il en a même fait un traité ), et pas pour l'adoration hystérique d'un texte .
C'est tout ce qui distingue votre moine fou Nichiren et lui .
 Auteur : Yvon
Date : 10 nov.20, 02:16
Message : Histoire du bouddhisme Mahayana
Nagarjuna et Vasubandhu
Sept siècles environ séparaient Nagarjuna de Shakyamuni.  Nagarjuna chercha en son temps a revenir a l'esprit originel du boud-dhisme. Cela lui valut d'être appelé par certains « le Deuxième Bouddha » et, au xixe siècle, Karl Jaspers  le classa même parmi les quinze plus grands philosophes de toute l'histoire de l'humanité. Toutefois, il ne faut pas considérer ici le philosophe comme étant simplement un intellectuel hors pair. C'est au prix d'une lutte intense et en y engageant toute sa vie, que Nagarjuna a pu deployer sa pensée qui a bouleversé les conceptions en cours a son époque
La quête de Nagarjuna 
Nagarjuna naquit dans le sud de L'Inde au 11e siècle de notre ère, au sein d'une famille de brahmanes. Il fut donc d'abord eduqué dans le brahmanisme, mais s'intéressa bien vite au bouddhisme, en se tournant d'abord vers les enseignements du Theravada qui étaient largement dominants. On dit que Nagarjuna se plongea dans les textes de ce courant bouddhique avec une telle ardeur qu'il parvint a les maitriser en seulement quatre-vingt-dix jours. Mais il en ressortit insatisfait, avec le sentiment d'avoir exploré le fond d'un enseignement mais pas la vie elle-même.
Il partit alors en quête d'autres sutras, gardés par les encore très rares adeptes du Mahayana . En un temps ou les déplacements étaient particulièrement périleux, il se rendit jusqu'au coeur de l'Himalaya où il recut d'un moine agé des copies de certains écrits du Mahayana. Il poursuivit ses recherches sans se ménager, debattit ici et la avec des moines et, finalement, obtint la révelation que le Sutra du Lotus représentait le sommet du bouddhisme.
Les concepts de vacuité et de Voie du Milieu 
Dans la philosophie indienne à l'epoque, iL était beaucoup question de vide ou de néant. Mais Nagarjuna avait la conviction que ces notions, qui conduisaient parfois au nihilisme, étaient mal comprises. Ses recherches approfondies le menèrent finalement a une apprehension de la vacuité comme étant ku, non pas un vide figé et désespérant, mais une potentialité. « Pour le spectateur ordinaire, , divers objets ou phenomenes semblent naitre du néant. Mais ce qui les précède, en fait, n'est pas le néant, mais l'état de ku, état de potentialité, ou latence, décrit par Nagarjuna 
Le raisonnement de Nagarjuna est le suivant : le feu  a besoin de bois de chauffage pour exister. De même, le bois de chauffage ne peut pas etre appelé bois de chauffage sans l'existence d'un feu sinon il ne peut être qualifié que de morceau de bois .
Autrement dit, on ne peut dire ni du feu ni du bois de chauffage qu'ils ont une existence absolue, indépendante l'une de l'autre. Mais on ne peut pas dire non plus qu'ils n'existent pas du tout. Ils existent a l'état de "vide" ou de potentialité, ils s'attendent l'un l'autre pour parvenir à exister de maniere concrète. 
Tous les êtres ont en commun cette nature dépendante, venant à l'existence par le processus de production conditionnée, et c'est ce que décrit le concept de ku ou de "vacuite". Ce n'est ni l'être ni le non-être, mais un état qui transcende les deux. 
Nous conclurons simplement ici que, par sa réflexion, Nagarjuna proposa une autre façon de concevoir la vie . Au terme de sa longue recherche des textes du Mahayana, Nagarjuna arriva et la conclusion que "toute chose est vide". Il es considéré  comme le père de la philosophie bouddhique telle qu'elle est connue dans l'Asie de l'Est.
Nagarjuna développa aussi le concept de Voie du Milieu, en declarant notamment que la veritable nature de toutes choses transcende ces deux pôles extrèmes que sont l'existence et la non-existence, ce qui rejoint l'idée de ku .
Source Le Grand Livre du Bouddhisme Edition Albin Michel
Auteur : Tseundru
Date : 04 déc.24, 12:06
Message : Bonjour à tous,
Je me permets de revenir sur la question des interprétations des enseignements de Nāgārjuna dans le cadre du bouddhisme Nichiren, en mettant en lumière les nuances et adaptations propres aux différentes traditions bouddhiques.
Nāgārjuna et son œuvre centrale
La majeure partie de l’œuvre de Nāgārjuna a consisté à développer et systématiser la doctrine de la Vacuité (Śūnyatā), notamment à travers son texte central, le Mūlamadhyamakakārikā (Versets fondamentaux de la Voie du Milieu). Ce traité établit que tous les phénomènes sont vides d’existence propre et interdépendants, conformément au principe de la coproduction conditionnée (pratītyasamutpāda). Sa philosophie vise à éviter les extrêmes, que ce soit celui du nihilisme ou de l’éternalisme.
Nāgārjuna a également commenté et mis en avant de nombreux sūtras, dont le Sūtra du Lotus, qu’il considérait comme particulièrement profond. Toutefois, son approche ne se limitait pas à ce texte, puisqu’il voyait dans l’ensemble des enseignements Mahāyāna des outils adaptés aux besoins variés des pratiquants.
Le bouddhisme Nichiren et le Sūtra du Lotus
Dans le bouddhisme Nichiren, le Sūtra du Lotus occupe une place centrale, considéré comme l’ultime enseignement du Bouddha et la clé de la libération. Nichiren a promu une pratique simple et accessible, basée sur la récitation du Daimoku (Nam Myōhō Renge Kyō), pour ses contemporains vivant dans un Japon médiéval marqué par de grandes turbulences. Cette approche pragmatique visait à unifier et fortifier les pratiquants à travers une foi concentrée sur un seul texte.
Cependant, cette lecture centrée sur le Sūtra du Lotus diffère de la méthode analytique et inclusive de Nāgārjuna, qui ne privilégiait pas un texte particulier au détriment des autres. Nāgārjuna enseignait la Vacuité comme une clé universelle pour comprendre tous les phénomènes et sūtras, sans fixer de hiérarchie absolue.
Contrastes et convergences
Bien que l’approche de Nichiren puisse sembler aller à l’encontre de la philosophie de la Voie du Milieu prônée par Nāgārjuna, il est important de noter que leurs objectifs étaient différents :
Nāgārjuna s'adressait à des pratiquants cherchant une compréhension profonde de la réalité.
Nichiren, en revanche, visait à offrir une pratique accessible et directement applicable pour répondre aux défis de son époque.
Ces deux visions reflètent la flexibilité du bouddhisme, qui évolue selon les contextes et les besoins. Si l’accent mis par Nichiren sur le Sūtra du Lotus peut apparaître comme une simplification de la pensée de Nāgārjuna, cela ne diminue pas la valeur de cette tradition pour ses adeptes.
Une richesse dans la diversité
Les divergences entre traditions, comme celles entre le Nichiren et le Madhyamaka, ne sont pas des contradictions mais des réponses aux divers besoins spirituels. Le véritable point commun reste l’objectif fondamental : réduire la souffrance et cultiver la sagesse et la compassion.
Qu’en pensez-vous ? 

 Auteur : vic
Date : 04 janv.25, 06:35
Message :  a écrit :Tseundru a dit : Nichiren, en revanche, visait à offrir une pratique accessible et directement applicable pour répondre aux défis de son époque.
Ces deux visions reflètent la flexibilité du bouddhisme, qui évolue selon les contextes et les besoins.
 Nichiren expliquait qu'il fallait décapiter les maitres bouddhistes des autres écoles que la sienne . 
Il avait surtout un sérieux péte au casque . 
On est très loin d'un maitre ultra brillant comme Nagarjuna .
N'essayons même pas de comparer ce qui n'est pas comparable .
Citations de Nichiren , ce moine psychopathe  :
" Il faudrait faire brûler jusqu'à la dernière pierre tous les temples du Nembutsu et du Zen, Kenchû-ji, Jufuku-ji, Gokuraku-ji, Daibutsu-den et Chôraku-ji, et conduire les maîtres de ces écoles sur la plage de Yuinohama pour les décapiter. Sinon, il est certain que le Japon sera détruit !"
(Source : Le choix en fonction du temps, Volume III, p. 191, ACEP, 1994)
" Pour le Salut du Pays, ce sont tous les moines du Nembutsu, du Zen, du Ritsu et d'autres écoles du Japon qu'il aurait fallu faire décapiter, en exposant leurs têtes sur la plage de Yuinohama. Mais maintenant, il est sans doute déjà trop tard."
( Source : Réponse au nyûdô Takahashi, VolumeVI, p. 144-145, ACEP, 2000).
"Comme il est regrettable que des émissaires mongols innocents aient été décapités, et non les moines du Nembutsu, du Shingon, du Zen, et du Ritsu, qui sont pourtant les véritables ennemis de notre pays !"
(Source : Les émissaires mongols, Volume V, p. 201, ACEP, 1996) Auteur : Marmhonie
Date : 14 janv.25, 20:20
Message : Tseundru a écrit :Je me permets de revenir sur la question des interprétations des enseignements de Nāgārjuna dans le cadre du bouddhisme Nichiren, en mettant en lumière les nuances et adaptations propres aux différentes traditions bouddhiques.
Vous faites très bien de voir la lumière et laissons les messages toxiques. Tant Nichiren que Nāgārjuna sont des figures importantes dont les enseignements ont eu un impact significatif sur le bouddhisme. Leur évaluation est toujours par trop subjective dépendant de perspectives personnelles et de contextes culturels dissociés.
 Auteur : spin
Date : 14 janv.25, 22:48
Message : vic a écrit : 04 janv.25, 06:35
Nichiren expliquait qu'il fallait décapiter les maitres bouddhistes des autres écoles que la sienne . 
Il avait surtout un sérieux péte au casque . 
 
Seulement certains de ses concurrents, mais en gros c'est vrai. Et la parabole bouddhiste de la Flèche, ou celle du Radeau, ou celle de l'Eléphant, on ne les connait pas chez ses fidèles.
Mais il a aussi repris les conception de Tien Taï, Tendaï en japonais, qui sont intéressantes (et autant que je sache il n'y a pas les mêmes problèmes chez lui).
 Auteur : Marmhonie
Date : 24 janv.25, 10:08
Message : Vous oubliez dans ce sujet la Vajracchedikā qui occupe également une place centrale dans le Sutra du cœur, qui commence par l'histoire de la façon dont Huineng est devenu le sixième patriarche de la lignée. L'influence du zen sur le Tibet est une autre direction que je vous propose d'analyser.
Auteur : vic
Date : 16 mars25, 04:42
Message : Marmhonie a écrit : 24 janv.25, 10:08
Vous oubliez dans ce sujet la Vajracchedikā qui occupe également une place centrale dans le Sutra du cœur, qui commence par l'histoire de la façon dont Huineng est devenu le sixième patriarche de la lignée. L'influence du zen sur le Tibet est une autre direction que je vous propose d'analyser.
 
Quel méli mélo !
Clarifions les choses . 
Vajracchedikā (Sūtra du Diamant) et Sūtra du Cœur sont deux textes distincts, , bien qu'ils appartiennent tous deux à la littérature Prajñāpāramitā. Ils ne sont pas directement liés l'un à l'autre, mais partagent des thèmes communs sur la vacuité (śūnyatā).
Huineng n'est pas mentionné dans le Sūtra du Diamant ou le Sūtra du Cœur.
Son histoire est racontée dans le Sūtra de l'Estrade, qui est un texte différent.
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